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Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Metz Mag (socialiste) de février 2013
Des 44 pages par revue (donc 88 pages pour les deux), je retiens :
Edito de Dominique Gros du #39 :
"Nous devons apporter une réponse à cet afflux de demandeurs d’asile, avec humanité en prenant en compte le désarroi de ces populations, mais aussi avec fermeté pour ne pas encourager les pratiques des passeurs. En d’autres mots, il faut plus d’action que de gesticulations, plus de détermination que de communication."
"Je souhaite rendre hommage aux habitants des quartiers qui souffrent de cette situation."
Quel Tartuffe, Dominique Gros ne se sent jamais responsable ! Après avoir allumé l'incendie, il se met du côté des pompiers. Il réclame maintenant de la fermeté, alors qu'il a toujours manifesté, notamment dans le "cercle du silence", pour donner des papiers aux illégaux, alimentant ainsi les pompes aspirantes de l'immigration.
Rendre hommage aux habitants est particulièrement déplacé de sa part, on attend d'un élu qu'il pose des actes responsables, non pas qu'il pleurniche sur une situation à laquelle il a contribué.
Marche Européenne des Sans Papiers et Migrants
On nous en remet une couche page 8 du #40 :
"La présence de nombreux demandeurs d’asile dans le quartier de Bellecroix a suscité beaucoup de questions. Le Maire a tenu à rappeler les deux engagements fermes qui guident son action : ne pas favoriser l’implantation de nouveaux demandeurs d’asile, et assurer un devoir d’humanité et de respect envers ces populations. Dominique Gros a remercié les habitants du quartier pour « leur attitude exemplaire face à cette détresse humaine », avant d’ajouter : « Je n’ai pas reçu de messages haineux et simplistes de la part des habitants, mais des messages constructifs face à un problème de fond. »"
Cette prise de conscience du maire est bien tardive, et on aimerait voir des actes plutôt que de l'entendre palabrer. Les habitants sont admirables de supporter cet aplomb alors que sa responsabilité est patente.
Biomasse, les forces de la Nature, page 22 du #39 :
La centrale biomasse de Metz-Chambière est sensée économiser 57 000 tonnes de CO2 par an. C'est incompréhensible ! On se fout de nous. Et pour appuyer l'absence de démonstration, on donne un exemple : 20 000 véhicules qui parcourent chacun 15 000 km par an, voilà l'économie. C'est sidérant.
Tribune de Patrick Thil, page 32 du #39 :
"L’emploi véritable n’est pas l’emploi aidé, mais celui généré par les entreprises. A Metz, l’emploi n’est pas une priorité. Technopôle 2, la zone des 2 Fontaines, le Palais des Congrès, sont en panne depuis 4 ans, alors qu’il s’agit d’autant de générateurs d’emplois qui devraient être des priorités absolues. Pour toute réponse à nos critiques, le Maire y pensera lors du prochain mandat."
Je trouve ce commentaire très étrange.
A la lecture des récents Metz Mags, il paraît évident que la municipalité socialiste est plus intéressée par les gadgets de type "actions citoyennes et solidaires" (voir mon commentaire sur les pages 21 à 25 du Metz Mag de septembre) que par les zones d'emploi.
Je ne comprends pas que Patrick Thil considère le Palais des Congrès comme générateur d'emplois non aidés. Qui va payer les 60 000 000 à 80 000 000 euros minimum que va coûter le bâtiment ? Reprocher au maire de prendre son temps pour une telle dépense me paraît bien téméraire !
Le développement durable sous l'angle budgétaire, page 27 du #40 :
un tableau représente "les principaux investissements vertueux et leurs effets", mais on est loin de tout nous dire, on compare des pommes et des poires : investissements en euros, mais gains en unités diverses et variées : m3, consommation d'énergie, kWh, m2, nombre de chaufferies, nombre de dossiers, tonnes, nouveaux raccordés. Quelles sont donc les différentes durées de retour sur investissement ? Il semble que cette notion n'intéresse pas les gestionnaires de la municipalité socialiste.
Et puis, on peut lire : "Cela est réalisé à imposition constante, rappelons le niveau d’imposition messin de 409 euros par habitant, contre 531 en moyenne nationale."
Cette répétition, ce rabâchage, ne rendra pas vraie la proposition !
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Metz Mags d'octobre et novembre
Larousse : Fait de distinguer et de traiter différemment (le plus souvent plus mal) quelqu'un ou un groupe par rapport au reste de la collectivité ou par rapport à une autre personne : Le sexisme est une discrimination à l'égard des femmes. Discrimination raciale.
Aux frais du contribuable, Dominique Gros, Directeur de la publication Metz Mag, offre une pleine page de pub dans le n° 40 de cette revue, à l'association Couleurs Gaies, et son président Matthieu Gatipon-Bachette, qui font la promotion des lesbiennes, homos, bissexuels, transsexuels dans les écoles de Metz à l'aide de 2 personnes issues du service civique !
Pas une seule discrimination n'est citée dans l'article, qui nous explique que des "lieux de rencontres" seront aménagés (avec ou sans préservatifs ?) à l'Hôtel de ville et que "différentes personnes interpelleront les passants et leur proposeront de leur faire part des discriminations dont elles ont été victimes".
Ou, comment on passe de la discrimination à la manipulation !
Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille
Christian Geay, président de Aides Territoire d’action de Lorraine, le 19 novembre 2012 à l'hôtel de ville de Metz, au sujet des porteurs du VIH : « Pour éviter la violence sociale qui découle de la sérophobie, on a tendance à s’enterrer dans une sorte d’omerta, car le mal dont on souffre n’est pas toujours apparent au dehors. Psychologiquement, la souffrance qui accompagne ce silence est terrible à supporter. Nous souffrons également du rejet du milieu homosexuel qui se veut jeune, beau et joli, et qui nous tourne le dos une fois la maladie contractée. »
Coup-d'pied au derrière : SOS homophobie perd son agrément dans les écoles
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Metz Mags d'octobre et novembre
Les clignotants passent au vert
"UEM a créé un progiciel innovant pour permettre aux entreprises du secteur de l’énergie de gérer l’ensemble de leurs processus métiers, de la relève des compteurs à la comptabilité, en passant par la gestion de matériels, des contrats et de la facturation. Cela se concrétise par la création de la filiale Efluid pour développer et gérer l’activité de développement et de commercialisation de ce remarquable progiciel.
La nouvelle société aura en charge le déploiement de la solution sur l’ensemble du territoire national pour la gestion des clients « particuliers et petits professionnels » d’ERDF. Cela représente 35 millions de clients en France. Un dynamisme qui profitera également à la Ville, avec l’emploi de plus de 120 salariés à Metz et le travail de plus de 100 prestataires informatiques et techniques chez des fournisseurs."
Source : édito du maire de Metz dans Metz Mag #40 de novembre 2012.
Je regrette qu'une telle bonne nouvelle ne soit pas plus développée dans les 44 pages en papier glacé de la revue de Metz. J'attends avec impatience le #41.
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Dans le bus, pas de place pour l'incivilité !
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
4 agressions en moins de 2 jours ont amené les chauffeurs de bus à faire grève hier.
Réactions :
Dominique Gros soutient ceux "qui s'inscrivent dans le coeur de l'organisation de la ville et doivent composer chaque jour avec les diffiicultés de circulation dues aux travaux du Mettis".
Jean-Luc Bohl condamne "ces actes graves et inqualifiables à l'encontre des personnels qui exercent une mission de service public".
Croyez-vous qu'à l'instar de la campagne d'affichage, ces déclarations soient efficaces ?
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Dans le bus, pas de place pour l'incivilité !
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Metz Métropole le mag' est un magazine de 28 pages dont est responsable Jean-Luc Bohl, maire de Montigny-lès-Metz, président de Metz Métropole, UDI (Union des Démocrates et Indépendants de Jean-Louis Borloo), élu à ce poste en 2008 contre Dominique Gros, maire de Metz, PS.
Malgré cette apparence de diversité dans les opinions et les choix politiques, Jean-Luc Bohl et Dominique Gros partagent les mêmes passions :
Mettis, dont on nous dit le plus grand bien à chaque numéro, en large et en travers, toutefois "sans minimiser l'impact du chantier", comment faire autrement ?!
le quartier de l'Amphithéâtre que Jean-Luc Bohl compare à "un petit Berlin, avec cet enchaînement de patrimoine monumental et de modernité, la renaissance spectaculaire d'espaces autrefois en friche, ses grues et sa soif d'art contemporain."
Comme Dominique Gros, Jean-Luc Bohl défend ses projets de façon partiale, en les enjolivant honteusement, en vendant du rêve (jusqu'aux grues !), en écartant toute contradiction (tout est beau, tout est magnifique, voir les 4 témoignages des futurs (!) passagers du Mettis, ou bien le témoignage du Président de la Caisse d'Epargne qui s'installe dans un nouveau bâtiment du quartier de l'Amphithéâtre), en occultant les graves conséquences sur les finances de la Métropole.
La bulle immobilière messine, Marie-Jo Zimmermann, tribune de Metz Mag #39, page 32 :
N’est-il pas paradoxal, alors même que l’on aère et dédensifie le quartier de Metz Borny, que dans le même temps, la municipalité développe autour du centre Pompidou un nouveau quartier qui nous rappelle malheureusement par sa densité et ses choix urbanistiques, les années 60 ?
Si les initiateurs de ces projets tiennent toujours le même discours: «le vivre ensemble, les commerces de proximité, l’intergénérationnel », ... le résultat est souvent à l’inverse de ces belles paroles : pas d’âme, pas de charme, pas de personnalité.
Curieusement d’ailleurs, architectes, urbanistes et élus préfèrent se loger dans les quartiers anciens de la ville, peu séduits sans doute eux-mêmes par l’architecture qu’ils nous imposent.
Survivre à Metz n°4, Emmanuel Lebeau, élu sur la liste de Marie-Jo Zimmermann :
Jean-Luc Bohl : "C'est vrai que la dette progresse. Mais c'est normal, nous partions de zéro."
Philippe : ben voyons ! Un tel aplomb est sidérant. On dirait du Gros.
Jean-Luc Bohl : "Je crois que c'est une saine gestion que de faire financer des investissements à long terme par ceux qui en profiteront."
Philippe : leur a-t-on demandé leur avis ?
Jean-Luc Bohl : "La structure de la dette de Metz Métropole est extrêmement saine".
Philippe : c'est en général ce que disent les sociétés avant leur faillite.
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Travaux Mettis place de la Gare
Gabegie socialiste, destruction des ressources
Même les pavés (chinois) sont métissés :
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61ème sur 1 100 participants classés, 1er marathon, sans préparation particulière, bravo !
Foulées Haganis et scolaires :
Rues désertes avant le marathon :
Bravo Alexy !
Marqueur à 3 heures 45, à 4 km de l'arrivée :
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Manifestation contre le nucléaire
En français, et en allemand (sans doute pour les personnes venues d'Allemagne) :
Le réseau Sortir du nucléaire a organisé samedi des manifestations dans une dizaine de villes en France, dont Lyon, Strasbourg, Metz et Laval pour demander l'arrêt de réacteurs et du chantier de l'EPR dans la Manche.
A Metz, entre 400 et 1.000 personnes, selon la police et les organisateurs, ont défilé pour demander notamment la fermeture de la centrale toute proche de Cattenom, mais également l'arrêt des expérimentations visant à enfouir des déchets nucléaires à Bure, à la lisière de la Lorraine et de la Champagne.
NB. Je n'ai pas vu tant de personnes, ni compris que les demandes de la manifestation concernaient Cattenom et Bure.
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bravo pour ton blog
je viens de m'y promener
j'ai pris tout mon temps aujourd'hui
belles photos
des tas de sujets intéressants
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Comptes administratifs de 2007 à 2011
Magazine Metz Métropole n° 55 de novembre 2012
Metz Mags d'octobre et novembre
7ème plus forte hausse de la dette en France
+ 3,7 % d'augmentation globalement par rapport à l'année dernière.
Les taux de la commune et de l'intercommunalité sont inchangés, mais l'augmentation est tout de même de + 1,8 % !
Sans augmenter (selon le maire), ça augmente quand même !!
Le taux du département passe de 11,75 à 12,46 % de la base, ce qui amène à une augmentation de + 8 % !! Ils se foutent de nous ! Dominique Gros, maire de Metz, est également Conseiller Général, quelles sont ses déclarations et ses actions contre cette augmentation considérable ?
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Art très subventionné et anti-catholique
Exposition à l'Arsenal :
Jürgen Nefzger, Sélestat 2000, Frac Alsace :
Sophie Ristelhueber, Dead Set, Frac Alsace :
Stéphane Couturier, Monuments-Séoul, Frac Alsace :
Thibaut Cuisset, Moscou 2007, Musée de La Roche-sur-Yon :
Bernd & Hilla Becher, châteaux d'eau, Frac Lorraine :
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Gestion dépensière de cigale, paroles de fourmi
Marie-Jo Zimmermann est née le 29 avril 1951 à Creutzwald (Moselle).
Elle fut candidate UMP aux élections municipales à Metz en mars 2008.
Après avoir obtenu 16,5 % des voix au premier tour, contre 24,2 % pour le maire sortant Jean-Marie Rausch, et 34 % pour le candidat PS Dominique Gros, elle fait une alliance avec la candidate MoDem Nathalie Griesbeck qui avait remporté 14,7 % des votes, et le candidat indépendant Emmanuel Lebeau, qui avait obtenu 5,6 % des votes.
Au deuxième tour, Marie-Jo Zimmermann est battue. Elle remporte 24,3 % des voix contre 27,4 % pour Jean-Marie Rausch et 48,3 % pour Dominique Gros qui est élu maire.
Depuis l'institution du suffrage universel en 1848, Metz avait toujours eu un maire de droite jusqu'à cette élection.
Source : Wikipédia
Je reprends ci-dessous le courriel du 6 octobre d'Emmanuel Lebeau, conseiller municipal d'opposition, élu en 2008 sur la liste de Marie-Jo Zimmermann (UMP).
+ 15 % d'impôts et taxes (sur la période)
- 2 % de population (sur la période)
Chers amis,
avec l'arrivée de l'automne, les premières feuilles d'imposition sont déposées dans les boîtes aux lettres des Messins (taxes foncières et d'habitation 2012). Eu égard aux hausses des impôts locaux qu'ont subies les Messins ces dernières années, ils sont en droit de se demander, à juste titre, où vont leurs impôts, et d'essayer de mieux comprendre le pourquoi de ces hausses d’impôts locaux. C'est dans cette logique qu'Emmanuel Lebeau a souhaité apporter des éléments de réponse à ces deux questions en réalisant une étude de données à partir des comptes administratifs de la ville de Metz.
Il a été jugé pertinent de regarder l’évolution de la gestion de la ville à compter du changement de maire et de prendre ainsi comme base de référence l’année 2007, dernière année durant laquelle l’ancienne municipalité était en charge de la gestion de la ville. Ainsi est née l’idée de comparer l’évolution de certaines données sur les comptes administratifs successifs de la ville de Metz de 2007 à 2011. Cette étude apporte un éclairage à l'attention du contribuable messin qui pourra ainsi se forger son opinion à la lecture de ces données.
Je vous souhaite une excellente lecture et j'espère que vous aurez autant de plaisir à lire cette étude que nous avons eu à la faire. Je reste à votre entière disposition pour toute information complémentaire.
Bien à vous,
Emmanuel Lebeau
Conseiller Municipal
NB. Merci à Josée pour la vérification de l'orthographe.
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Rénovation du siège social de la BPLC
Chapelle du Grand Séminaire de Metz :
Les ondes lumineuses, suaves et tendres, embrasent le verre pour créer un miroitement nous renvoyant l’image intime et sensuelle d’une chapelle surprise dans son sommeil. toujours présentée comme un “work in progress”, cette œuvre évolue. l’artiste resserre son champ d’expérimentation pour nous plonger dans son univers organique, empreint de volupté. Expérience onirique de l’intangible, utéria nous propose une réflexion sur notre double condition de vivant, à la fois animale et métaphysique.
La chapelle des séminaristes est-elle vraiment le lieu pour des expériences de sensualité et volupté ?
Pas-de-deux coranique à Toulouse
L’archevêque de Toulouse réagit à Golgota picnic
Laser avenue Foch :
Elastiques sur la gare :
Vidéo sur le toit du centre Pompidou :
Passage Jürgen Kroger :
Pieuvre de la Banque Populaire de Lorraine :
Tout ça pour 624 100 euros annoncés.
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Exposition contre la peine de mort à la cathédrale
Dimanche 21 Octobre 2012 à 16h à la Cathédrale Saint-Etienne
À Metz, Charlemagne Palestine (c'est un musicien) investit la Cathédrale – entouré d’une armée de peluches, des divinités – et il est à parier que sa quête alchimique du son parfait, de ce drone absolu qui engloberait tout le spectre harmonique, sera avantageusement relayée par l’acoustique du lieu pour un grand moment de sagesse, de beauté et d'ivresse.
En partenariat avec l'association Fragments
Remerciements à Monseigneur l'Evêque, aux Chanoines de la cathédrale et à l'ABF
La cathédrale est-elle vraiment le lieu pour aller adorer des peluches ?
Les fils des "acteurs" de Mai 68 sont déjà vieux. Ils sont nés vieux, leurs pères ne s'étant jamais trouvés jeunes que l'espace d'un printemps, ayant vieilli avec les Rolling Stones, les Gardes Rouges, les prêtres défroqués, les sexologues hédonistes et les sociologues de la vérité gauchie. Leurs fils sont les enfants du snobisme et de l'altruisme, c'est-à-dire du grand fanatisme égalitariste, en son occurrence antiraciste. Le snobisme est également une maladie culturelle de la gauche, sinon son seul moteur. A l'alliance du snobisme et de la mauvaise conscience succède la foi en une renaissance - en une eschatologie sociale, sexuelle, raciale, ethnique, dont l'antiracisme littéraire est le vrai nom : nouveauté absolue qui non seulement marque la fin de tout destin historique et le triomphe de la nouveauté comme retour à la parcellisation tribaliste du multiculturalisme, mais aussi, selon Octavio Paz, l'accomplissement de notre destin comme négation du christianisme. C'est pourquoi l'antiracisme règne, culturellement, comme fer de lance des droits de l'homme et comme doxa littéraire, avec ses produits dérivés : l'engagement, la dénonciation, l'édification, le révisionnisme onomastique, historique, sexuel, éthique, le meurtre, l'expiation et, en fin de compte, l'éternel plat réchauffé du bonheur.
De l'antiracisme comme terreur littéraire, Richard Millet, Editions Pierre-Guillaume de Roux, page 78
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Dédié aux commerçants et riverains du Mettis
Magazine Metz Métropole n° 55 de novembre 2012
Campagne superficielle et inutile
Les clignotants passent au vert
La ville de Metz est couverte d'affiches qui appellent à bien se tenir dans les bus.
Autrement dit, hors des bus, lâchez-vous !
Surtout, n'hésitez pas à faire part de votre mécontentement au premier responsable, Dominique Gros, selon lequel :
"ça va beaucoup mieux que ce que l'on craignait. Tout le monde nous annonçait un lundi noir à la rentrée. Eh bien, il n'y en a pas eu. (...) Les Messins ont prix de bonnes habitudes en utilisant les itinéraires de déviation. Il y a encore quelques visiteurs qui sont en difficulté avec leur GPS..."
Quelle mauvaise foi ! Quel Tartuffe ! C'est la faute du GPS.
Et puis sur les impôts :
"Je n'ai encore jamais rencontré quelqu'un dans la rue qui m'ait demandé de baisser les impôts locaux. En revanche, on me réclame très souvent plus de cantines, de policiers, de crèches, de lampadaires."
Avant de les baisser, il aurait déjà fallu ne pas les augmenter, ce qu'il a fait en trompant ses électeurs puisqu'il s'était engagé à ne pas le faire. Il n'est pas possible de lui faire confiance, il nous méprise.
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Dépenses de communication et de chantiers
Dans le cadre des journées du patrimoine, visite des casemates du bastion 61 des manufactures des tabacs et allumettes messines :
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Magazine Metz Métropole n° 55 de novembre 2012
Hôtel de luxe au quartier de l'Amphithéâtre
Muse - Quartier de l'Amphithéâtre
3 581 m2 de bureaux neufs à louer dans ce premier ("une histoire d'avance") immeuble livré sur la quartier de l'Amphithéâtre, "pôle d'attractivité d'envergure internationale" !
Terrasse panoramique de plus de 100 m2 au 7ème étage, proximité immédiate de la gare SNCF, face au Centre Pompidou, situation remarquable, prestations de haut niveau.
Foncière des Régions (partenaire de la Nuit Blanche) occupe déjà 2 étages sur les 7, plus une grande partie du rez-de-chaussée.
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Constatez la beauté des nouveaux panneaux publicitaires high-tech transparents de la Mairie
Les partenaires de la nuit blanche sont la plupart du temps des institutions qui vivent avec nos impôts, mais il y a également quelques entreprises privées qui utilisent mal l'argent de leurs clients :
La Culture est une trahison perpétuelle de la pensée, de la langue, de l'héritage, de la vérité. La Culture, ou plutôt le Culturel, c'est-à-dire l'effondrement de l'échange dans le divertissement, le spectacle, la consommation, le bavardage, le soliloque infini du narcissisme petit-bourgeois devenu le modèle social et ontologique universel.
Richard Millet, Langue Fantôme, Pierre Guillaume de Roux, août 2012, page 59
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Bourrage de crâne avec nos impôts
Dédié aux commerçants et riverains du Mettis
Téléchargez le plan global des itinéraires conseillés
Ce plan, distribué partout en grand format imprimé, est incompréhensible ! Quelqu'un le comprend-il ?
La nouvelle ville est coupée de l'ancienne : comment circuler de Ste Thérèse à St Thiébault ?
Les commerçants de l'avenue Leclerc de Hautecloque voient leur chiffre d'affaires baisser dangereusement.
Extrait de l'édito de Dominique Gros dans le dernier Metz Mag :
Ces moments de joie et de partage ne nous font pas oublier les difficultés quotidiennes de circulation. Les bénéfices que nous attendons des travaux vont se concrétiser mais les désagréments sont actuels. Je m’assure régulièrement que les services municipaux et les entreprises concessionnaires font tout leur possible pour avancer et réduire au maximum les nuisances. J’entends les exaspérations et j’y suis sensible; il faudra pourtant encore un peu de patience.
Voilà la réponse : être patient, souffrir en silence, tout en étant assuré que le "bon" Maire n'oublie pas les difficultés quotidiennes des gens ; ça leur fait une belle jambe !
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