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Gestion dépensière de cigale, paroles de fourmi
Metz Métropole adopte en 2012 un budget "de maturité" !
200 pages de bilan en quelques lignes
Metz Mag (socialiste) de février 2013
Pages 6 et 7, Dominique Gros, maire de Metz, continue son matraquage mensonger selon lequel il n'y aurait "aucune augmentation des impôts en 2012". Chacun pourra juger par lui même en consultant ses avis de taxes d'habitation et foncière en 2011 et 2012.
La seule nouvelle information est le taux d'endettement qui serait de 104 euros par habitant à Metz en 2012. En revanche, il n'est rien dit de ce taux les années précédentes !
Page 30, le groupe "Metz demain" explique que "depuis 4 ans, ce sont 10 000 000 d'euros supplémentaires qui sont ponctionnés par an" en taxes d'habitation et foncière. C'est scandaleux.
Plus loin, ce même groupe nous informe que la dette de la ville a été multipliée par 2 entre 2010 et 2011, et que de la cagnote de 62 000 000 euros laissée par Jean-Marie Rausch, il ne restera plus que 9 000 000 euros à peine fin 2012, soit un trou de 53 000 000 euros ! Quel triste bilan.
Enfin, "Metz demain" continue son analyse en portant à notre connaissance qu'en 2012, les charges de fonctionnement atteindront 15 000 000 d'euros de plus qu'en 2008, et que, toujours en 2012, la masse salariale représentera 7 600 000 euros de plus qu'en 2008. De plus, 3 500 000 euros sont des dépenses cachées, non visibles par l'opposition !
A la même page 30, Patrick Thil, conseiller municipal d'opposition, juge le maire "bardé de certitudes et dominateur par ses discours assenant ses propres convictions avec brutalité sans jamais être lui-même à l'écoute".
Autre sujet : Patrick Thil aurait aimé qu'on solennise en 2011 le 15ème centenaire de la fondation de Metz.
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Gestion dépensière de cigale, paroles de fourmi
"Je n'ai pas eu de rapports sexuels avec cette femme"
Metz Métropole le mag' de mars 2014
Le dossier pages 12 à 15 est très inquiétant :
- le budget dit "principal", c'est à dire sans Mettis, augmente de 13,3 % par rapport à l'année 2011 !
- les impôts de l'intercommunalité sont en forte hausse, mais aucune précision n'est donnée sur ce point ;
- il est cependant possible d'avoir une idée de l'augmentation de l'emprunt : la contribution de l'emprunt au budget va représenter 126 % des impôts des ménages (fiscalité Ménages) : autrement dit, pour 100 euros payés par les impôts, il y en a encore 126 qui sont empruntés et qu'il faudra rembourser. C'est colossal !
- 13 % de l'impôt (fiscalité Ménages) sert déjà à payer les intérêts de la dette (4 000 000 euros) : autrement dit, pour 100 euros payés par les impôts, il y en a 13 qui servent à payer les intérêts ;
- le budget dit "annexe" est un budget supplémentaire de 73 % du budget "principal", c'est donc une très grosse annexe, nécessaire pour financer le nouveau transport en commun Mettis : l'annexe pèse presque autant que le budget principal et porte donc mal son nom. Il aurait mieux valu l'appeler "budget Mettis". L'emprunt pour Mettis en 2012 sera de 58 800 000 euros : autrement dit, en plus des 126 euros empruntés du budget principal pour chaque unité de 100 euros d'impôts (fiscalité Ménages), il faut ajouter 196 euros d'emprunt pour le Mettis en 2012. Au total, ça fait un emprunt de 322 euros pour 100 euros d'impôts des Ménages. C'est plus que colossal ! Il va falloir rembourser tout ça, à des taux qui ne font qu'augmenter ;
- on nous fait miroiter 2 000 emplois "sur notre territoire" pour les travaux du Mettis, chiffre qui n'est pas démontré ; ce qui est démontré, c'est que l'emprunt va financer le Mettis pour 40 % en 2012 ; vont s'ajouter 22 % de subventions en 2012.
- Est-il permis d'envisager de dépenser ce qu'on a gagné, et de ne pas faire l'inverse ? Ces politiques nous entraînent dans une spirale économique très dangereuse, dont nous voyons déjà les effets en Europe, avec risque de contagion au monde entier.
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Le tract qui suit a été distribué aux élèves vendredi dernier pour leurs parents.
Il s'en prend aux décisions du gouvernement. Il argumente contre ses décisions.
Qu'on soit d'accord ou pas avec le contenu, le procédé est déplacé, puisqu'il porte atteinte à la neutralité de l'Ecole.
Ou bien, faut-il en conclure que si l'Ecole de la République est socialiste, elle est alors considérée comme politiquement neutre ? Ce serait comme une seconde nature que personne ne pourrait contester ?
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Construction d'une passerelle sur la Seille
Photos prise le 30 avril 2011 :
+ 7 mois = 30 novembre 2011
Mais aujourd'hui, ce n'est pas terminé, soit un dépassement de délai d'au moins 2 mois sur 7, soit 30 % minimum !
Je ne sais si le coût prévu de 1 114 888 euros sera respecté ?
Faut-il croire les promesses qui nous sont faites ?
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Brahms et Prokofiev, salle de l'Esplanade, avec Frédéric d'Oria-Nicolas au piano :
Auparavant, quintette avec clarinette de Mozart, avec Nicolas Baldeyrou à la clarinette.
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Metz en Scènes à l'Arsenal, avec l'argent de la Mairie de Metz et de la Lorraine :
"L'anormal pourrait bien être la norme"
NB. Une des photos n'est pas de l'expo
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L'art de métamorphoser ses espaces
Metz Métropole adopte en 2012 un budget "de maturité" !
200 pages de bilan en quelques lignes
Dédié aux commerçants et riverains du Mettis
Voeux du Maire : "Metz réinvente ses transports"
Vidéo : Mettis Metz comme si vous y étiez !
"Maintenant, je ne suis pas inquiet de l'opinion, puisque que l'opinion est en train de se retourner" Dominique Gros, le 11 janvier 2012.
Républicain Lorrain du 13 novembre 2011 :
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L'un des 3 panneaux d'information a été complété pour informer les riverains des différentes étapes des travaux :
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Avec Le Nouveau-né (peinture de 1645 environ) de Georges de La Tour, grand peintre lorrain :
L'original est au musée des Beaux-Arts de Rennes.
Et avec la belle musique de Walking In The Air, et le premier chant polyphonique de France : La bataille de Marignan de Clément Janequin.
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Chers lecteurs, vous allez comprendre pourquoi ce blog est resté en sommeil si longtemps.
A l'heure où la ville de Metz signe un partenariat de 5 ans avec Numericable pour développer la fibre optique, et donner un accès très haut débit dans les écoles, les clients souffrent d'un service commercial lamentable : courriers sans réponse, service interrompu facturé, téléphone payant vers le service clientèle.
Par jugement du 5 septembre 2011, le tribunal d'instance d'Angers a ordonné à Numericable de supprimer de ses conditions générales de vente la clause prévoyant la facturation de 2 euros en cas de paiement autre que le prélèvement ou la carte bancaire. C'est un exemple de ce que ce fournisseur fait subir à ses clients.
La façade pour la sortie de Numericable n'est pas la même, ce ne sont d'ailleurs pas les mêmes horaires d'ouverture (ici Best Retouche, dit "point relais") :
Alors, j'ai tenté Free dont on parle beaucoup en ce moment en raison d'une offre à bas coût de téléphonie mobile, parce qu'un ami me l'avait recommandé. Là, en réalité, le service est pire que chez Numericable. Pas de boutique ni de point relais, matériel prétentieux qui ne fonctionne pas, prélèvements malgré l'absence de service, obligation d'appeler un numéro facturé où l'attente est longue, retour du matériel qui tient dans un gros paquet à envoyer en recommandé AR, facturation de frais de résiliation : la totale.
Et puis, il y a SFR, une boutique en ville où des personnes sympathiques et compétentes organisent en moins d'une semaine une liaison qui fonctionne. Comme quoi, il n'est pas obligatoire de devenir l'esclave d'un fournisseur d'accès Internet (FAI).
Malheureusement les entreprises sont tentées de mettre en place ces services commerciaux lamentables dans beaucoup d'autres domaines : banques, gaz.
Mais, si un tel service est offert, c'est que les clients l'acceptent ! Ce fonctionnement en dit long sur l'état de la société : technologique et inhumaine. A chacun de juger.
Pour moi, le choix est fait, pas question d'accepter un système commercial où le client n'est qu'un des paramètres du plan marketing.
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