Bonjour Thomas,

"les anciennes gravières", c'est un nouvel argument, que vous n'aviez pas utilisé dans votre commentaire du 2 septembre 2011. Vous écriviez alors : "Certes le gazon a souffert, mais il va repousser". Il a fallu vous montrer la fausseté de cette affirmation pour que vous inventiez maintenant ce nouvel argument des gravières. Regardez un peu comme vous avez labouré le terrain (ce que vous avez reconnu : "certes le gazon a souffert"), il n'est pas étonnant que la pelouse soit morte.

172 000 personnes ? Je ne vous crois pas. Pas plus que je ne vous croyais quand vous prétendiez que le gazon allait repousser. Avez-vous la liste des 172 000 noms ? Quelle enquête vous permet d'avancer ce chiffre ?

Quelle est la fréquentation de ce lieu de promenade quand Metz-Plage n'y est pas installé ?

Vous prétendez que Metz-Plage répond à une injustice sociale. Eh bien non, Metz-Plage constitue un énorme gaspillage qui fait plaisir à quelques bobos qui n'hésitent pas à augmenter les impôts locaux de ceux qui ne peuvent plus les payer en partant en vacances.

De surcroît, cet évènement éphémère est anti-écologique et contraire aux objectifs du plan climat.

Je pense qu'il y a beaucoup mieux à faire, par des actions raisonnables qui seraient plus profitables aux habitants de Metz, et aux plus modestes d'entre-eux, puisque cela semble être votre souci. La première de ces actions est de gérer l'argent public en bon père de famille, non pas en enfant prodigue.

En espérant que ces quelques lignes vous seront utiles.