Philippe, évoquer un parallèle entre Balamer cheval d'Attila et les socialistes ne serait-il pas faire à ces derniers un peu trop d'honneur. Imaginer que dans seize siècles nos descendants se souviennent de l'épisode socialiste me donne quelques frissons. J'espère qu'au contraire ils auront disparu dans les oubliettes de l'histoire, car si malheureusement leur souvenir devait perdurer, ce serait fort probablement en tant que fossoyeurs de la France.

On peut bien sûr m'objecter qu'au vu de l'actualité...c'est bien parti pour.

Et puisque nous en sommes à Attila et dans la série nos Anciens étaient stupides, ils s'opposaient aux envahisseurs, il convient de rappeler que quelque part entre Troyes et Châlons on y a mis la pâtée à Attila ; Mais c'était au cinquième siècle...

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Curieux, je pensais qu'un banal navigateur permettait de consulter Wikipédia.

Pour ma part, j'use du vieil et parait-il obsolète XP avec Firefox comme navigateur et tout baigne, ce que proposent les nouvelles versions de Windows ne m'interesse pas, mais qu'attendre d'autre du gras Ouly, authentique mythe médiéval.

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Même sans Wikipedia, je suis sûre que Philippe connaît la bataille des Champs Catalauniques  :-)

En revanche, on n'apprend plus cela à l'école : je ne l'ai vu ni dans les leçons de mes enfants, ni de mon temps d'ailleurs...

Coucou messine   

Comme vous le précisez la défaite d'Attila n'est pas ou peu enseignée, de fait fort peu de personnes la connaissent. Pourtant le bougre n'a pas connu souvent l'échec, je ne lui en connais qu'un autre, sa tentative infructueuse de prise de Rome. A Metz ça s'est beaucoup moins bien passé, il y a commis grand carnage.

Je suis par contre bien moins sûr que vous en ce qui concerne la connaissance de cet épisode par le bon Philippe. La  mytholoie chrétienne n'y est pas exaltée et les intoxiqueurs d'esprits qui ont malheureusement forgé notre ami ne s'y sont donc pas attardé.

Je n'oublie pas qu'il y a quelques mois il est allé jusqu'à écrire que l'homme n'était pas issu de l'animal, faisant des recherches de Aristote, Buffon, Lamarck, Darwin, Coppens, Brunet et pas mal d'autres grands esprits tabula rasa, simplement pour complaire aux dévoyeurs précedemment évoqués qui prétendent que Dieu a créé l'homme alors que c'est totalement l'inverse, ce sont les hommes qui se créent des Dieux. Force m'est d'admettre que sur ce couo, je suis resté - excusez l'expression - sur le cul, n'imaginant pas qu'au vingt et unième siècle une personne dotée de cerveau vivant dans une contrée civilisée pouvait encore nier les évidences scientifiques, je croyais ce genre d'attitude reservé aux décérébrés comme on en trouve au Moyen-Orient.

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Merci Philippe d'entrer en démonstration de ma thèse, prouvant ainsi qu'elle ne sonne pas si faux que vous le prétendez.

Vous connaissez l'histoire de Léon, moi je connais celle de Marcien, qui a fait reculer Attila par la menace des armes, bien plus efficace que les paroles de Léon (lesquelles ont fait preuve de leur impuissance quelques années plus tard face à Genséric) surtout que les troupes Huns souffraient alors d'une malencontreuse épidémie (vous prétendrez bien sûr que l'épidémie avait une source divine, ben voyons...).

Ce faisant, il est patent que vous ne connaissez des choses de la vie que ce que les malfrats cléricaux (excusez le pléonasme) vous en ont appris, c'est à dire en gros des montagnes d'erreurs.

Je ne suis pas le fruit du hasard, je suis issu d'extra-terrestres, selon les théories de Von Daniken, lesquelles ne sont - somme toute - pas plus délirantes que les votres. 

Nier la science est également à porter au crédit des hordes incultes d'orient, le phénomène trouve son origine pour eux comme pour vous dans un truc tout bête qu'on nomme intégrisme religieux. Évoquer le bon sens en ces circonstances est pour le moins malséant.

Merci toutefois de votre attention pour ce qui concerne ma digestion et mon sommeil, c'est aimable et délicat.

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Bonjour Ouly et Philippe,

je vous laisse débattre religion entre vous :-)

En tout cas, là où Philippe a raison, c'est qu'effectivement de mon temps, on parlait des grandes invasions (barbares), alors qu'aujourd'hui pour qualifier le Vème siècle, on parle des grandes migrations.

Mon père avait appris la leçon par cœur: "les Huns sont des barbares toujours en route, etc..." et il s'en souvient encore !

Bonjour messine,

vous avez remarqué que si j'ai profonde amitié et même grande affection à l'égard de notre cher Philippe, il est un point qui nous séparera toujours.

Il ne s'agissait là que d'un coup d'humeur car lorsque je vois ce qui se passe sur la planète, en Syrie, en Irak, à Jérusalem et même dans notre vieille Europe à cause des religions, chacun étant convaincu que seule la sienne mérite d'être, j'ai les poils du dos qui se redressent. A noter que Philippe s'en est aperçu puisqu'il soupçonnait une mauvaise nuit ou un repas qui passait mal.

Je sais qu'il m'en pardonne et perfidemment, j'en profite. Et non, j'ai pas honte !

Pour ce qui concerne les invasions devenues migrations, c'est le fléau de notre époque, les gens n'osent plus - au nom du politiquement correct et de la divination des droits de l'homme alors que ses devoirs sont oubliés - donner aux choses le nom qu'elles méritent, voir la récente affaire Morano. Moi qui suis un vieux con j'ai appris dans ma jeunesse que celui qui se déplaçait pour profiter des richesses de ses hôtes sans y avoir été invité et ce souvent avec sa violence était un envahisseur, un migrant vient pacifiquement et avec ses propres richesses pour éventuellement effectuer un partage avec les autochtones.

O tempora o mores.

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A propos des écoliers allemands, je n'ai rien trouvé sur la toile francophone, mais on peut consulter ce site.

En ce qui concerne média, je suis très hésitant à mettre une esse pour marquer le pluriel, puisque média est déjà un pluriel, celui de médium.

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« Sur les hommes qui croient en l'existence de Dieu, au bout du compte c'est bien Dieu qui est responsable  »

« C'est aussi une décharge de responsabilité, quand on fait une connerie, plutôt que de s'auto-blamer, il est si simple de rejeter la faute sur un Dieu, »

Quod erat demonstrandum

Merci Philippe, une fois encore, de foncer tête baissée en appui de mon argumzntation. 

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« Encore une fois, nous sommes d'accord, cher Ouly ! »

Quand-est-ce qu'on se marie ?               

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