Gay pride de Metz

Taubira, ta loi, on n'en veut pas !

Lettre ouverte du 6 mars 2013 à Madame Aurélie FILIPPETTI Ministre de la Culture 3, rue de Valois 75033 Paris Cedex 01

Madame,

C’est avec stupeur et grand étonnement que je viens de visionner une vidéo qui circule sur internet, mais qui est fort instructive pour un auditeur attentif.

A vous voir vociférer et gesticuler en ponctuant du doigt vos paroles, j’avais la sensation, marquée à vie par l’esprit de terreur qui s’en dégageait, de la vision d’une allégorie du « Führer » du troisième Reich allemand.

Beaucoup de bruit pour clamer des inepties sur l’émigration qui, selon vous, a fait à elle seule, la richesse de la France d’aujourd’hui. Comme si la France n’avait jamais existé dans toute la splendeur de sa langue, et de la bravoure de ses citoyens au cours des siècles. Vous avez oublié : la bataille de Poitiers en 732 remportée par Charles Martel, la fondation de l’Académie Française en 1635 par le cardinal de Richelieu, la Révolution Française de 1789, le général de Gaulle, etc...

Votre attitude Madame, vous qui êtes issue d’émigrés italiens du temps de Mussolini, est révoltante et revêt un caractère de traîtrise vis-à-vis de la France qui vous a amenée où vous êtes. Vous mériteriez d’être déchue de la nationalité que vous haïssez.

Et de plus, vous insultez les Français en les traitant de Moisis et de Rancis ! Et cela sous prétexte qu’ils ne sont pas tous d’accord avec vous. Il vous faut rappeler, Madame, que la liberté d'opinion est un principe de liberté fondamentale apparu à la fin du XVIIIe siècle au cours de la Révolution française, dès le 26 août 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. (Wikipédia)

Après ce rappel dont vous avez ignoré le principe, permettez moi , Madame, de souligner que vos vociférations et gesticulations sont la preuve, pour une Socialiste, d’une grave intolérance caractérisée que la France appréciera.

André MALRAUX a dû se retourner dans sa tombe au Panthéon en vous entendant vociférer et gesticuler.

Honte à Vous, qui, par votre attitude, contribuez, à l’émergence d’une nouvelle cinquième colonne comme celle qui a fait perdre la guerre à la France en 1940.

Vous devriez démissionner en sollicitant publiquement le pardon des Français pour les avoir insultés.