-
Pas de porc, mais idéologie du genre, en primaire
Jets de pierres contre enfants en prière
A quoi bon un maire catholique pour une telle misère
Farida Belghoul dénonce des pressions odieuses sur des familles de milieu modeste
Non, l'idéologie du genre n'est pas une rumeur !
Le Président aurait-il choisi un timbre Dieudonné ? Pourquoi alors nous imposer un timbre Femen ?
Quand les socialistes demandent aux enfants de 11 ans s'ils pratiquent la pénétration anale
Théorie du genre : Alain Escada lance un défi à Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem
Le document confidentiel qui accable Najat Belkacem
Vincent Peillon : la religion de la laïcité
IVG : un médicament contesté remboursé par la Sécu
Censure du maire de Luxembourg
Les démons du bien - Alain de Benoist
Ci-dessous, le menu des écoles primaires de Metz qui proposent de remplacer le porc par de la dinde ou précisent que la raclette est sans porc ; on est attentif à ceux qui n'aiment pas le porc.
Mais dans ces mêmes écoles primaires, on fait regarder aux enfants le film Tomboy ou on fait lire aux enfants la vie à reculons de Gudule.
Halte à ceux qui veulent "déconstruire les enfants"
Recherche sur la vie à reculons de Gudule
Gudule voit à l’intérieur de l’âme des jeunes filles de 15 ans : « Elsa rougit. Le dernier mot [sperme] la gêne, surtout dit par cette bouche. Il évoque trop crûment, avec une précision trop technique, les émois diffus qui la hantent, les désirs dont la puberté l’a nantie suivant sa logique imparable. À quinze ans, l’amour cesse d’être une abstraction. Le sexe y a sa place, avec son cortège de termes barbares : sperme, vagin, coït, orgasme… les prononcer à voix haute confère une brutale réalité à ce qui n’était que pulsions intimes » (p. 114).
Crimes et Chatouillements, et La nuit des porcs vivants, de Gudule
Tags : porc, école primaire, Vincent Peillon, idéologie du genre
-
Commentaires
3OulySamedi 1er Février 2014 à 15:59Ah...nostalgie...!
Mon dernier vrai cochon de lait lorrain, c'était à l'auberge de Mazagran (sur la route de Boulay) dans les années soixante-dix.
‡
Ajouter un commentaire
Les cantines de Metz - qu'elles soient scolaires, hospitalières ou professionelles - proposent-elles encore de l'authentique quiche lorraine avec ses indispensables lardons ?
Et quid de la choucroute ou de la potée lorraine ?
Quand au cochon de lait, je suppose que ce n'est aujourd'hui qu'un souvenir...
‡