• Inauguration de la "stèle" de la Manufacture des tabacs

    AVERTISSEMENT

    Cuisine gratuite à la Manufacture des tabacs

     

    L'inauguration avait lieu samedi à 18 heures :

    Sur la grande affiche sur le mur sont écrit les 3 900 noms des ouvriers sur toute la durée d'activité des usines de tabac et d'allumettes :

    Inauguration de la stèle de la Manufacture des tabacs

    Merci Sébastien !

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  • Commentaires

    1
    Ouly
    Mardi 13 Septembre 2016 à 16:03

    Le caractère premier d'une stèle est d'être monolithique (d'une seule pierre) ce qui ne semble visiblement pas le cas ici.

     

    Pour l'anecdote, au sein du listing doit se trouver un mien aïeul.

     

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    2
    Mardi 13 Septembre 2016 à 21:20

    Vous avez encore une fois raison : la sculpture ne ressemble pas à une stèle !

    Comment s'appelle votre aïeul afin que je le cherche et grossisse son nom  ?

      • Ouly
        Mercredi 14 Septembre 2016 à 18:15

        Philippe, j'ai eu un jour la faiblesse de vous faire partager un peu de mon intimité en vous dévoilant le nom de ma bière préférée et ce - à moins que ma mémoire ne défaille, ce qui est plutôt rare - non sur le blogue mais en message personnel. J'ai vu ce que vous avez développé à partir de cette minime information aussi permettez moi de décliner l'offre si sympathique qu'elle soit, laissons mon grand-père reposer en paix.

         

      • Mercredi 14 Septembre 2016 à 21:06

        Exact, j'ai publié La bière du diable en avril 2015, vous m'avez même adressé des corrections de cet article, c'est la première fois que vous m'en faites le reproche, je ne vous savais pas susceptible sur les bières, je ne savais pas que je violais votre intimité. J'en suis désolé. Si j'ai bien compris, vos religions sont la zététique et la bière, on ne touche pas, c'est sacré.

    3
    Jeudi 15 Septembre 2016 à 20:47

    "J'admire affectueusement ta mauvaise foi. Je t'ai toujours permis de me parler, parce que tu es mal élevé et enthousiaste."

    Titus, dans La reine de Césarée - Bérénice de Robert Brasillach, acte I, scène I

      • Ouly
        Jeudi 15 Septembre 2016 à 23:00

        « je ne savais pas que je violais votre intimité »

        Une fois de plus vous êtes en pleine extrapolation. Je ne vous ai jamais reproché cette bien innocente divulgation ni surtout parlé du viol de mon intimité, je vous fais grief d'avoir récemment utilisé bien puérilement et de façon tout à fait fallacieuse cette information.

        Ça n'a rien de sacré, ça serait plutôt en relation avec la bienséance et le savoir-vivre...

        De plus, je vous l'ai déjà précisé, ni la zététique ni la bière ne peuvent être assimilés à une quelconque religion.

         

        “Chassez le naturel, il revient au galop”

        Serait-ce votre propension au nazisme qui vous amène à citer un collabo notoire ayant été fusillé pour ce fait ?

         

        « Vous avez encore une fois raison : la sculpture ne ressemble pas à une stèle ! »

        Merci, mais alors, que diantre attendez vous pour effectuer la correction ?

         

      • Vendredi 16 Septembre 2016 à 21:21

        J'ai mis des guillemets à "stèle" afin de tenir compte de votre remarque. C'est le terme utilisé officiellement, donc je le reprends, une "stèle" à la mémoire d'Eugène Rolland.

        Qu'y avait-il de fallacieux et puéril à parler de vos dégustations de Duvel ?

        "Bienséance et savoir-vivre", mais au nom de quoi ? Qui fixe votre morale ? La zététique ou la bière ? Si vos bienséance et savoir-vivre consistent à défendre l'installation de chiottes sous une statue religieuse dans une basilique, eh bien, je ne vois pas en quoi quelques mouches crevées vous gêneraient dans votre Duvel, la bière du diable ?

        Vous aimez l'esclavagiste Voltaire, pourquoi n'apprécierai-je pas la Reine de Césarée de Robert Brasillach ? Vous êtes bien obtus. Comme je vous le disais, d'autres ont fait bien pire que Brasillach et n'ont pas été inquiétés.

        Je n'ai aucun propension au nazisme qui est diabolique comme le communisme et les personnes qui demandent de commettre des meurtres au nom de Dieu.

    4
    Mardi 20 Septembre 2016 à 22:06

    "Cette alliance entre les nymphes des bois, les vieux dieux dépossédés, et les voix les plus hautes du christianisme, il faut croire qu'il y tenait puisque parmi ses dernières pages publiées dans le Mystère en pleine lumière, nous trouvons la Sibylle d'Auxerre. Il aimait ces textes du moyen âge où les déesses antiques servent à proclamer la gloire du Christ, il aimait ce Dante qui parla un jour du grand Jupiter crucifié pour nous. Et je vois bien, sans doute, ce qui pouvait irriter, dans le paganisme de Barrès, ses amis catholiques. Il était allé plus loin que l'enchanteur breton, qui se contentait de dire que les saintes étaient aussi belles que les déesses, et entendait par là prouver le génie du christianisme. Barrès aurait volontiers laissé entendre que les saintes étaient d'anciennes déesses ressuscitées. (...)

    Domrémy était, presque autant que Sion, un des lieux de pèlerinage de Barrès. C'est là qu'il découvrait, lui l'ami des sibylles et des saintes, l'accord le plus parfait qui soit entre les voix de la terre et celles du ciel. Ne nous étonnons pas : ces petites filles en robe rouge qui vont porter leurs chapeaux de fleurs aux fées et à la Vierge devaient le séduire. Pour lui, Jeanne n'est pas une bergère ignorante : elle est, au contraire, miraculeusement cultivée, dans ce vieux pays nourri de légendes, de récits de voyageurs, d'Evangiles (authentiques ou apocryphes). Elle est toute raison en même temps que tout mystère. En elle s'unissent, comme il dit si curieusement, le sang de Velléda et celui des centurions romains. car, transmutée par la raison romaine, par l'intelligence la plus aiguë qui ait jamais existé, ce que Barrès retrouve en elle, tout au fond, c'est une voix celtique. (...) C'est une harmonie purement française, et si belle que peu de temps ont pu la réaliser. On conçoit qu'elle ait séduit Barrès, qui n'a jamais pu trouver meilleure incarnation de son mythe de la chapelle et de la prairie.

    Robert Brasillach, Portraits, Barrès vivant, Plon, 1957

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