• Gay pride prévue à Metz le 2 juin 2012

    Novembre du conformisme et de la censure gay

    Couleurs Guets vise la députation

    Marche des lesbiennes, gays, bi, trans

    Ateliers du Printemps des Citoyens

    Novembre de l'égalité

    Homo festivus

    Encouragement aux tags sur les murs

    Perte du sens de l'orientation

    Interview du député UMP (menacé d'exclusion par l'UMP) Christian Vanneste

    Les propos de Christian Vanneste sont, en réalité, tout à fait conformes à la vérité historique

    Serge Klarsfeld, président de l'Association des fils et filles de déportés juifs de France, a assuré mercredi 15 février 2012 qu'il n'y avait pas eu, à sa connaissance, "d'homosexuel déporté de France" vers l'Allemagne pendant l'Occupation. "Parmi les déportés, il y avait des homosexuels mais ils ont été déportés comme juifs, résistants ou droits communs", a ajouté M. Klarsfeld.

    Propos homophobes : Christian Vanneste blanchi en cassation

    Interview de Serge Klarsfeld, président de l'association des fils et filles de déportés juifs de France

    – De France, il n’y a pas eu de déportation d’homosexuels. Un déporté homosexuel a bien témoigné, mais il est parti d’Alsace, territoire qui se trouvait régi par les lois allemandes. Les lois allemandes n’ont pas été étendues à d’autres pays. Il n’a jamais été question de déporter des homosexuels français. Je n’ai jamais entendu dire que l’on arrêtait des gens parce qu’ils étaient homosexuels. Les personnes homosexuelles qui ont pu être arrêtées en France ne l’ont pas été en raison de leur homosexualité. Il y a certainement eu des homosexuels déportés mais pour d’autres raisons. Cela pouvait être pour non-respect du couvre-feu ou pour fait de résistance ou tout simplement des condamnés de droit commun.

    - Voyez-vous là une instrumentalisation du drame concentrationnaire ?

    - Les homosexuels ont été victimes des nazis en Allemagne, peut-être imaginent-ils que cela correspondait aux prémices de ce qui les attendait ailleurs. Ainsi ils élargissent la déportation des homosexuels alors qu’elle n’a touché que le Reich. Pour ma part, je n’ai jamais vu un document faisant état de la déportation d’homosexuels en France. S’ils disent que la déportation d’ho- mosexuels a eu lieu ailleurs que dans le Reich et notamment en France, soit ils se trompent de bonne foi, soit ils trompent de mauvaise foi. On ne peut absolument pas comparer ce type de déportation avec la déportation des Juifs. La question qui est intéressante, c’est de savoir comment et pourquoi en Allemagne, alors que des nazis étaient homosexuels, on arrêtait des homosexuels.

    - Vous soutenez donc Christian Vanneste lorsqu’il affirme qu’en « Allemagne, il y a eu une répression des homosexuels et la déportation qui a conduit à peu près à 30.000 déportés. Et il n’y en a pas eu ailleurs (...) Il n’y a pas eu de déportation homosexuelle en France » ?

    - Oui absolument parce que c’est la vérité. Ceux qui soutiennent qu’il y a eu une déportation diront qu’il y en a eu deux ou trois mais en Alsace ! Or, l’Alsace était considérée comme allemande à l’époque !

    - Vous paraît-il justifié de demander l’exclusion de Christian Vanneste de l’UMP pour ces propos ?

    - Demander son exclusion de l’UMP pour ce motif me paraît tout à fait ridicule car ce qu’il a dit n’est pas inexact ! C’est la vérité qui m’intéresse et je dirais cela à tous les médias, qu’ils soient de gauche ou de droite.

    La croisade homo dans les rues piétonnes de Metz, dite "marche des fiertés", est prévue le 2 juin 2012 : départ de la place saint Louis (qui a lancé la 8ème croisade), montée en procession à la cathédrale.

    Saint Louis remplacé par des steacks hachés (2 avril 2011)

    Couleurs Gaies sollicite actuellement les élus, jusqu'au 31 mars 2012,  en leur proposant d'adhérer au Collectif des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres pour soutenir les 4 revendications suivantes :

     

    • le droit au "mariage républicain" pour tous les couples ;

     

    • le droit à l'adoption et à la procréation médicalement assistée pour toute personne et tout couple ayant un "projet parental cohérent" ;

     

    • le droit au changement d'état civil, sur simple demande, pour les "personnes trans-identitaires" ;

     

    • l'interdiction du don de sang aux seules personnes ayant eu une "réelle prise de risque".


    Gay pride prévue à Metz le 2 juin 2012

    DISCOURS DU PAPE BENOÎT XVI le 9 janvier 2012 À L'OCCASION DE LA PRÉSENTATION DES VŒUX DU CORPS DIPLOMATIQUE ACCRÉDITÉ PRÈS LE SAINT-SIÈGE

    Extrait :

    L’éducation est un thème crucial pour toutes les générations, puisque d’elle dépend aussi bien le sain développement de chaque personne que l’avenir de toute la société. C’est pourquoi elle représente une tâche de première importance en un temps difficile et délicat. Outre un objectif clair, comme est celui de conduire les jeunes à une connaissance pleine de la réalité et donc de la vérité, l’éducation a besoin de lieux. Parmi ceux-ci figure en premier la famille, fondée sur le mariage d’un homme avec une femme. Il ne s’agit pas d’une simple convention sociale, mais bien de la cellule fondamentale de toute société. Par conséquent, les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l’avenir même de l’humanité. Le cadre familial est fondamental dans le parcours éducatif et pour le développement même des individus et des États ; en conséquence il faut des politiques qui le valorisent et qui aident à la cohésion sociale et au dialogue. C’est dans la famille que l’on s’ouvre au monde et à la vie et, comme j’ai eu l’occasion de le rappeler au cours de mon voyage en Croatie, « l’ouverture à la vie est un signe de l’ouverture à l’avenir »[3]. Dans ce contexte de l’ouverture à la vie, j’accueille donc avec satisfaction la récente sentence de la Cour de Justice de l’Union européenne, qui interdit de breveter les processus relatifs aux cellules staminales embryonnaires humaines, comme aussi la Résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, qui condamne la sélection prénatale en fonction du sexe.

    Plus généralement, en regardant surtout le monde occidental, je suis convaincu que s’opposent à l’éducation des jeunes et par conséquent à l’avenir de l’humanité, les mesures législatives qui non seulement permettent, mais parfois même favorisent l’avortement, pour des motifs de convenance ou des raisons médicales discutables.

    Désinformation autour de Benoît XVI et du "mariage" gay ? Je ne crois pas, non...

     

    Ajout le 5 mars 2012 :

    Gay pride prévue à Metz le 2 juin 2012

    ROYAUME-UNI — Le cardinal Keith O’Brien, chef de l’église d’Ecosse, a dénoncé vigoureusement dimanche le projet du gouvernement de légaliser le mariage homosexuel.

    Le projet du gouvernement "représente une subversion grotesque d’un droit humain universellement accepté", souligne le cardinal dans une tribune au Sunday Telegraph. Et de rappeler que l’article 16 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme définit aussi le mariage comme une relation entre hommes et femmes.

    Le Premier ministre David Cameron espère redéfinir le mariage civil, l’ouvrant aux couples de même sexe, pendant son mandat qui court jusqu’en 2015. Il a publiquement évoqué son soutien au mariage homosexuel lors de la dernière conférence du parti conservateur à Manchester l’automne dernier.

    Une consultation doit être lancée par la secrétaire d’Etat Lynne Featherstone le mois prochain auprès du public sur l’introduction du mariage homosexuel en Angleterre et au Pays-de-Galles.

    "Aucun gouvernement n’a l’autorité morale pour démanteler la définition universellement reconnue du mariage", souligne le cardinal, qui est des plus hauts responsables catholiques du Royaume-Uni.

    Le projet "ignore" selon lui le droit de l’enfant à avoir un père et une mère, et aurait à l’avenir d’autres implications graves. "Si le mariage traduit juste l’amour entre adultes, qu’est-ce qui empêcherait trois personnes qui s’aiment de se marier?", lance-t-il.

    Le projet de David Cameron soulève également l’opposition de députés de son propre parti et de membres de l’église anglicane. L’archevêque anglican d’York, John Sentamu, a jugé en janvier que les gouvernements ne disposaient pas de l’autorité morale pour redéfinir une institution comme le mariage.

     

    Ajout le 11 mars 2012 :

    Gay pride prévue à Metz le 2 juin 2012

    97,7 % des Français estiment que la famille est « importante dans la vie ». Alors que le nombre idéal d’enfants souhaité est de 2,52, le nombre d’enfants par femme est de 2,01. Il reste inférieur au seuil de renouvellement des générations (2,1 enfants par femme). Par ailleurs, selon l’INSEE, et contrairement aux idées reçues, les trois quarts (76 %) des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents, tandis que 16 % vivent dans une famille monoparentale et 6 % avec un parent et un beau-parent. De la même façon, 77,4 % de couples vivant en France sont mariés. Si le taux de nuptialité diminue, le nombre de mariages est relativement stable depuis 30 ans (250 000 en 2010). Le nombre de divorces prononcés (130 000 en 2009) est stable depuis 2005. Enfin, le nombre de PACS enregistrés ne cesse de progresser (195 000 en 2010).

    L’UNAF affirme que le mariage reste l’acte le plus protecteur pour chacun des membres du couple. Les droits qui y sont associés doivent être conservés. Elle considère que l’extension des droits attachés au PACS, qui est un contrat accordant des facilités de rupture, non judiciaires, sans délai, ni indemnité, et qui concerne à 95 % des couples de sexe différent, est source de confusion avec le mariage.

    Comme pour le concubinage, il permet une liberté de rompre à tout moment, ce qui en fait un mode d’union différent du mariage, et donc avec des droits qui doivent rester logiquement différents. En outre, l’UNAF est attachée au maintien des principes qui réservent le mariage aux couples composés d’un homme et d’une femme, et aux principes fondamentaux de la filiation fondés sur le triptyque « père, mère, enfant ».

    L’UNAF affirme que tout enfant a besoin d’un père et d’une mère, même si les circonstances de la vie (séparations, décès) conduisent à d’autres configurations. C’est pourquoi elle est opposée à l’assistance médicale à la procréation pour des motifs autres que médicaux. C’est aussi la raison pour laquelle elle est défavorable à l’établissement d’un statut juridique de « beau-parent » ou du « tiers », qui conduit à un fractionnement de l’autorité parentale. Elle réaffirme que l’autorité parentale est une conséquence de l’établissement de la filiation, et que la parenté de l’enfant ne peut dépendre de l’évolution de la vie de couple de ses parents.

    Roselyne Bachelot demande un nouvel examen de l'affiliation des familles homoparentales à l'Union des Associations Familiales

    Pour l'UNAF, famille, mariage, filliation ne sont pas négociables

    « 200 pages de bilan en quelques lignes"Je n'ai pas eu de rapports sexuels avec cette femme" »

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  • Commentaires

    1
    Brice de Peltre
    Dimanche 12 Février 2012 à 15:22

    Selon un sondage les médias nous informe qu'une majorité de Français se prononceraient à 65% pour le mariage des homosexuels.

    Et pourtant, à l'annonce d'un référendum sur le sujet par M. SARKOSY, toute la Gauche, du PS à Mélenchon, se révolte contre un tel référendum qui diviserait les Français en opposant une partie des Français contre l'autre...

    Je ne comprend pas car l'instauration de référendum d'initiative populaire a été inscrite dans la Constitution et... selon le sondage dont la Gauche et les Médias se revendique une majorité des Français  serait favorable au mariage réclamé par les homosexuels : où est donc le problème ?

    En quoi est-ce une mesure "populiste" et "démagogique" ?

    La Gauche serait-elle "anti-démocratique" et opposé à ce que le Peuple puisse exprimer ses volontés par les urnes ?

    2
    PhilippePhilippe Profil de PhilippePhilippe
    Dimanche 12 Février 2012 à 18:22

    Brice de Peltre,

    vous avez l'air assez mal informé car, contrairement à ce que vous affirmez, Nicolas Sarkozy n'a pas proposé de référendum à ce sujet.

    Au contraire, comme Marine Le Pen, il a été très clair sur son opposition au mariage homo, qui ouvrirait la porte à l'adoption des enfants par les homos.

    Le PS, Les Verts d'Eva Joly (EELV) et le Front de Gauche de Mélenchon, avec les Communistes (PC), sont en faveur du mariage homo et de l'adoption des enfants par les homos, mais ce n'est pas nouveau.

    A Metz, le maire de Metz (PS) a lancé les pacs homos en mairie, et le Président de Couleurs Gaies (qui organise la gay pride dans le centre-ville avec l'autorisation du maire de Metz) défend les couleurs d'EELV à toutes les élections.

    Puisque vous aimez les sondages, peut-on savoir à quel pourcentage les Français sont favorables à l'adoption des enfants par les homos ?

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    3
    Brice de Peltre
    Lundi 13 Février 2012 à 13:47

    Le seul sondage qui compte c'est celui des URNES !

    Les médias, en évidence "maqués" par la Gauche, nous assènent à longueur de journées de tendances virtuelles dont la vraisemblance n'est pas avérée.

    Je ne connais personne, parmi mes amis, mes collègues de travail, mes voisins, qui revendique le mariages des homosexuels ou l'adoprion pour ces couples : les médias nous présentent ce micro-fait de société comme la pièce maîtresse d'une politique capable de résoudre seule tous les maux de notre société.

    Où est l'éthique du journaliste ?

    Savent-ils encore réfléchir et rester neutres et objectifs dans leur mission d'information ?

    Personnellement j'en doute...

    4
    PhilippePhilippe Profil de PhilippePhilippe
    Lundi 13 Février 2012 à 22:29

    Merci Brice, je partage votre analyse sur la démesure de la propagande médiatique pour ce "micro-fait de société".

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