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Par PhilippePhilippe le 3 Janvier 2013 à 22:16
Petit déjeuner solidaire du dimanche
Nouvelle taxe de 4 % pour la Mairie
30 000 euros au Printemps des citoyens
Metz: un budget com très généreux
"Nos récoltes, nos espaces, nos repas, nos projets" : "Metz vous souhaite une belle année 2013".
Le contraste est aussi celui entre impôts et taxes d'une part, médiocrité du partage d'autre part :
récoltes insignifiantes,
piétons azimutés,
familles décomposées,
projets imposés,
pour la gloire factice du maire et la déception bien réelle des habitants.
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Par PhilippePhilippe le 3 Janvier 2013 à 22:13
Réparation pour Dieu sans maître
Et en plus, elles donnent l'heure !
Beau clocher de l'église Saint-Martin
Saint-Martin sous le soleil de Saint-Paul
Ouly a "transporté le clocher messin et hivernal au printemps de St.Paul-de-Vence" :
Merci Ouly, on a chaud !
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Par PhilippePhilippe le 3 Janvier 2013 à 22:00
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Mettis tel que Messieurs Dominique Gros, Jean-Luc Bohl et François Grosdidier le rêvent :
Grand merci à Ouly pour le photomontage !
Mettis tel qu'il est :
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Par PhilippePhilippe le 22 Décembre 2012 à 13:45
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Condamné à 14 reprises : 8 fois pour outrages à policiers, vols, cambriolages et menaces.
Pour le "vivre ensemble" et le "lien social" chers à Hacène Lekadir.
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Par PhilippePhilippe le 22 Décembre 2012 à 10:46
7ème plus forte hausse de la dette en France !
Metz Mags d'octobre et de novembre
Magazine Metz Métropole n° 55 de novembre 2012
Campagne superficielle et inutile
Conseil municipal de Metz - Un budget primitif 2013 irresponsable
La saignée du Mettis de Royale à Woippy
--> Télécharger 10 ans ensemble <--
--> Télécharger Metz Magazine de décembre <--
"10 ans ensemble" est un "hors série spécial 10 ans de Metz Métropole" sur papier glacé, tiré à 120.000 exemplaires, aussi creux qu'inutile et coûteux. Les pages ne sont même pas numérotées, c'est dire combien elles sont interchangeables. Jean-Luc Bohl, Directeur de la publication, Président de Metz Métropole, Maire de Montigny-lès-Metz, UDI (parti de Borloo), pose sous un lustre en cristal, soutenu à droite et à gauche (ça ne s'invente pas) par 2 sièges confortables, avec, en fond, une statue d'art et les drapeaux français et européen. Pour qui se prend-il ?
Les deux soutiens pour tenir debout : Grosdidier à droite, Gros à gauche
Metz Mag de décembre, tiré à 74.000 exemplaires, est dans la ligne des précédents numéros, c'est une revue luxueuse de 44 pages dont plus de 90 % sont creuses, et le reste relève de la manipulation :
l'édito du maire, Dominique Gros, PS, et la page 27 veulent nous faire croire que la ville est bien gérée et que les impôts n'augmentent pas. C'est tout le contraire.
Contrairement à ce qu'affirme le maire dans chaque numéro de sa coûteuse et inutile revue, les impôts augmentent, j'engage le lecteur à suivre les liens au début de cette page.
La présentation est trompeuse, car le maire, au lieu de se référer au début de son mandat, se compare aux autres villes, toutes plus endettées les unes que les autres. Lui n'a fait qu'augmenter les dépenses ; c'est parce qu'il a bénéficié d'une situation extrêmement saine en arrivant à la mairie (grâce à la gestion rigoureuse de son prédécesseur, Jean-Marie Rausch) qu'il peut encore parader avec de bons chiffres, cependant en train de se dégrader dangereusement. Seule la comparaison par rapport à son arrivée est pertinente, il s'était engagé, pour être élu, à ne pas augmenter les impôts de Metz et de l'agglomération, il a trompé les électeurs.
Dominique Gros reconnaît qu'il nous prépare un avenir sombre, en se vantant de "plus de redistribution, les dotations aux associations culturelles, sociales et sportives sont à un niveau élevé 251 euros par habitant à Metz" (est-ce qu'un enfant est un habitant ?) "contre 160 euros pour la moyenne nationale", ce qui représente 57 % de plus à Metz que la moyenne nationale (et chacun sait que nous vivons au dessus de nos moyens, jusqu'au jour où tout va s'effondrer, mais nos "élites" sauront égoïstement rebondir, comme elles le font en permanence) !
De même, Dominique Gros se vante de "plus d'investissement porteur d'avenir" (mais surtout de dépense !), "296 euros par habitant contre 267 euros pour la moyenne nationale, ce qui représente 11 % de plus à Metz que la moyenne nationale ! C'est grave.
Hacène Lekadir, adjoint au maire, PS, en remet une couche page 33 :
Le budget d’investissement : + 17 % entre 2007 et 2012, nous permet des actions nombreuses (351 euros par habitant à Metz contre 284 euros pour la moyenne nationale) au service des Messins : amélioration des cantines scolaires, du périscolaire, accompagnement de la jeunesse et des étudiants, un soutien au monde associatif important (+ 32 % depuis 2008) parce que vital pour le lien social et le vivre ensemble. Enfin, nous menons une politique dynamique pour l’attractivité économique et urbanistique de la ville par le développement des ZAC.
NB. J'ai corrigé les fautes d'orthographe.
Première remarque : les chiffres sont différents de ceux de Dominique Gros, ce qui est assez surprenant dans un même document !
Certaines affirmations ne sont pas démontrées : en quoi les cantines scolaires et "le périscolaire" ont-ils été améliorés ?
Le reste est du blabla socialo-bobo :
que signifie qu'il faut "accompagner la jeunesse" ? Lui donner les moyens de devenir libre, autonome et responsable ?
"Le monde associatif" ne veut rien dire, c'est du jargon. La famille fait-elle partie du monde associatif ? Englober la famille dans ce jargon est une réduction de ce qui est fondamental pour construire des adultes responsables.
"Le lien social" est aussi du jargon. Les actions contre les "incivilités" du transport en commun sont-elles incluses dans le lien social ? L'apprentissage de la morale, de la politesse sont-elles des priorités incluses dans le développement du "lien social".
"Le vivre ensemble" : voir les "10 ans ensemble" de Metz Métropole. Quoi ensemble ? Metz-plage et Nuit Blanche ?
Et la dernière phrase citée est symptomatique de manque d'imagination et de vision.
La seule vraie réflexion à lire dans Metz Mag est celle de Marie-Jo Zimmermann page 32 :
METTIS: 150 ANS DE BILAN CARBONE NEGATIF
Fallait-il faire tout cela et couler autant de tonnes de béton pour faire circuler simplement des bus au gasoil (54 litres aux 100 km) sur des voies dédiées, telle est la question que vous vous posez sans doute.
Au- delà du (sur)coût, au-delà des problèmes de circulation dans la ville, c’est le patrimoine de notre cité bimillénaire qui est meurtri.
La ville souffre tout comme ses habitants car c’est le METTIS qui devrait s’adapter à la ville et non l’inverse.
En pleine crise économique, rendre inaccessibles les commerces sur une telle durée, voire définitivement pour certains, est-ce bien responsable ?
Est-ce bien raisonnable de faire le choix d’un bus trois caisses de 24 mètres de long (!) et de le faire passer dans le cœur de la ville aux rues étroites ?
Est-ce réellement un choix visionnaire que d’acquérir des bus hybrides qui roulent au gasoil, alors que ce dernier est désormais classé cancérogène par l’Organisation Mondiale de la Santé ?
Les travaux du Mettis ont généré plus de 55.000 tonnes de CO2 alors même que ce système de transport ne va engendrer qu’une économie de 374 tonnes de CO2 par an. Il faudra donc 150 ans à minima pour que les émissions évitées par le report modal du Mettis ne deviennent «carbone positives» c’est à dire supérieures aux émissions générées par la conception du Mettis.
La vérité c’est que nous avons bel et bien un bus au diesel qui ne participe en rien à la diminution de la consommation des énergies fossiles. Consciente d’ailleurs de son mauvais choix technique, la Municipalité suggère déjà, alors que Mettis n’est même pas en place, le remplacement dans 10 ans de toute la flotte de bus (35 millions d’euros) pour passer au tout électrique.
Alors que Metz était pionnière de l’écologie urbaine elle n’est pas encore entrée dans l’ère du développement durable et encore moins dans l’ère des économies.
Cette analyse pertinente ne plaît pas aux deux comparses Dominique Gros et Jean-Luc Bohl. Ce dernier a déclaré "Mettis, il y a encore des gens qui sont contre. Ils seront surpris au moment de l'inauguration... J'ai encore lu récemment des bêtises sur Mettis dans un magazine municipal".
"Des bêtises" ? C'est minable* ! (*Jean-Marc Ayrault, premier ministre, PS.) Gros et Bohl voudraient que la population soumise leur soit reconnaissante, ce qui permet par exemple à ce dernier de parader dans un costume de Président, bien soutenu à droite et à gauche, dans sa revue en papier glacé.
Il est vrai qu'il est amusant de voir Nathalie Colin Oesterlé (Nouveau Centre - UMP, désormais intégré à l'UDI, le parti de Bohl et Borloo), élue sur la liste de Marie-Jo Zimmermann, en opposition avec Bohl, pourtant du même parti. C'est tout à son honneur, cela montre qu'elle n'est pas otage d'un système de pensée qui opprime les habitants.
Bohl (UDI) bien soutenu à droite et à gauche. On aura compris que ce sont Dominique Gros (PS) et François Grosdidier (UMP). Ce dernier a déclaré : "L'inauguration du Mettis sera un moment historique. Beaucoup plus fort que l'inauguration du Centre Pompidou - Metz pour la vie quotidienne de nos habitants. C'est un projet qui dépasse largement le clivage droite /gauche. J'ai entendu une personnalité politique messine (Marie-Jo Zimmermann, NDLR) dire que si elle avait été maire, il n'y aurait pas eu le Mettis. Eh bien heureusement qu'elle n'a pas été maire !"
Eh oui, Grosdidier, comme Bohl, roulent pour Gros, en Mettis !
Une telle unanimité ne peut s'expliquer que par un travail en Loge
Mais ça, on ne saura pas, c'est secret.
Extraits de l'intervention de Nathalie Colin-Oesterlé (élue sur la liste de Marie-Jo Zimmermann) lors du Conseil Municipal du 20 décembre 2012 :
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Par PhilippePhilippe le 16 Décembre 2012 à 18:23
Education : l'agrément national de SOS homophobie annulé
Halte à ceux qui veulent "déconstruire" les enfants !
Quand une ministre louait le mariage homo dans un collège
Coup de gueule d'Olivier Marchal sur la pédophilie
Plus de 624.800 britanniques ont signé une pétition contre le “mariage” gay
Jouets : Super U, l’enseigne super politiquement correcte
Interruption sacrilège de la Messe des Rameaux à la cathédrale
Bien chers agglomérés de la région messine... et autres,
poussé par mon insatiable esprit "badaud", où pouvais-je bien me trouver en ce samedi après-midi 15 décembre, sinon au départ de la manif' messine en faveur du "mariage gay" ?
En observateur candide et sans malice... en témoin attentif... ; sans plus.
Dès l'abord, ce fut la surprise.
Sur son char, avec une petite semaine de retard, Saint Nicolas était présent... !
Que pouvait-il bien faire dans un tel contexte ?
Etait-il invoqué comme protecteur, voire inspirateur du "mariage pour tous" ?
Une présence d'autant plus insolite que, dans le même temps, des pancartes vouaient à la malédiction toute politique réputée "théocratique" (sic) dans notre département concordataire.
Comprenne qui pourra...
Sur d'autres pancartes ou calicots, des slogans d'un goût douteux, tels que : "Intégristes, caressez-vous" !
Un groupe conduit par une demi-douzaine d'élus représentait notre cité de Metz : 1 conseillère régionale, 5 ou 6 conseillers municipaux, ceints de leur écharpe tricolore, dont les adjoints à la Culture, à la Jeunesse et à la Démocratie participative.
S'ensuivait une cinquantaine de membres de l'association "Couleurs gaies" et de l'Inter LGBT, reconnaissables à leur emblème arc-en-ciel ("emprunté ", bien malgré lui, au peuple Inca et à ses actuels descendants !).
En clôture, les supporters habituels du mouvement "gay" ("Jeunesses socialistes", anarchistes de la CNT, membres du NPA cher à M. Besancenot).
Le tout représentant, au départ, un groupe de quelques 200 participants environ.
Ainsi vont les jours...
Samedi dernier (8 décembre) je battais le pavé nancéien en opposition au projet gouvernemental du "mariage pour tous".
En ce tout dernier samedi, j'observais la marche des opposants aux opposants !
Toujours hier, mais cette fois en toute fin d'après-midi, sous une fine pluie persistante, sous un vent modéré, mais constant, rassemblés pour la translation des reliques de Saint Vincent à Saint Clément, nous étions bien davantage !
Bien à vous, engagés ou non dans tel ou tel combat...
Dominique, de la minorité (invisible) des messins issus de la diaspora bretonne.
Chers amis,
je vous invite à lire ce billet dans lequel vous pouvez remplacer 'place de la République' (de Paris) par 'place Mazelle'. Cela ne vous rappelle rien ?
Les folles idées de Bertrand Delanoë
DG ne fait que du Delanoë... en pire.
Sébastien
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Par PhilippePhilippe le 16 Décembre 2012 à 12:31
Nager en maillot dans l'eau froide
Bienvenue sur le site de Madine
Mémorial américain de la butte de Montsec
Retable sculpté par Ligier Richier
Photos du retable retraitées par Ouly que je remercie !
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Par PhilippePhilippe le 15 Décembre 2012 à 22:11
Place Mondon, jusqu'à l'an dernier, les décorations de Noël représentaient des anges.
Depuis cette année, place à la fête commerciale, finis les anges, fini Noël !
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Par PhilippePhilippe le 9 Décembre 2012 à 17:34
Saint Nicolas fêté à Metz ce dimanche
Rampart Saint-Thiébault en 1902
Le Général Ribayrol, Gouverneur militaire de Metz, accueille le cortège :
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Par PhilippePhilippe le 5 Décembre 2012 à 21:45
Manifestation hier en faveur du "mariage pour tous"
Merci Ouly !
Mariage pour tous : Christine Meyer n'est pas favorable au projet de loi
Un maire de Moselle qui a des c., Jean-Marie Buchheit :
« C’est dommage que de nos jours il n’y ait plus assez de grand philosophe qui se manifeste à travers ses écrits sur le sujet, ce qui pourrait constituer une base ô combien réfléchie sur cette question primordiale de notre société que nous nous posons tous à un moment donné : Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ?
Je ne conteste pas les choix de vie sexuelle qui sont différents du mien. Il en faut pour tous les goûts et les goûts et les couleurs, gaies ou tristes, restent discutables. Avec la mise en place du Pacs, la société a reconnu le droit fondamental de liberté individuelle quant au choix d’un partenaire sans faire nécessairement référence à sa sexualité ni à son sexe, alors que le mariage prévoit l’union de deux personnes de sexe différent.
Minorités sexuelles
Basé sur ce qui reste un fondement de notre société républicaine et civile, la liberté, le dispositif du Pacs offre une réelle intégration aux minorités sexuelles dans une société qui, outre la reconnaissance du libre arbitre, ouvre aussi des droits et des devoirs aux intéressés. Le mariage qui reste un fondement de l’équilibre de notre société à travers la cellule familiale, trouve sa justification dans l’organisation de la reproduction de l’espèce humaine et de la filiation.
Le temps a prouvé qu’il reste un socle fondamental même si les viscicitudes de la vie le mettent souvent à mal et qu’il a fallu inventer le divorce pour corriger certaines situations particulières et souvent douloureuses. Il n’en reste pas moins vrai que le mariage est un contrat de droit privé ouvrant des droits et des devoirs à deux personnes dont la complémentarité sexuelle est naturelle et évidente. C’est d’ailleurs la source, si j’ose dire, du foyer familial et de son développement harmonieux vers la famille. Et ça c’est une évolution incontestable.
Amour base essentielle
Je n’ai rien à redire quant au choix d’homosexualité pratiqué par certaines personnes. Je n’ai pas compétence pour dire s’il s’agit d’une déviance. En tout cas, on sort de la ligne naturellement admise depuis des siècles visant à admettre le bien-fondé de la complémentarité des sexes pour procréer.
Il est vrai aussi que les progrès de la médecine ouvrent de nouvelles perspectives en matière de procréation médicalement assistée. Cette recherche avait été initiée pour donner aux couples infertiles la possibilité d’engendrer malgré tout. Cette aide vers une famille naturellement composée s’oppose donc à la gestation pour autrui, la location d’utérus, aux mères porteuses ce qui n’est qu’une nouvelle forme de prostitution : un détournement de la nature sans mise en valeur d’un sentiment d’amour qui reste la base essentielle pour assurer l’équilibre d’un couple et au-delà d’une famille.
Nous avons le devoir moral de donner à un enfant l’entière capacité de vivre pleinement sa vie en ayant acquis les bases d’une expérience construite sur la cohabitation de deux personnes de sexe différent : ses parents. Et c’est là que l’on trouve la richesse de l’équilibre philosophique de notre vie.
Equilibre moral
Ainsi il apprendra à être responsable, à savoir faire des concessions, à donner de l’amour pour le seul plaisir de le partager. Il comprendra qu’il y a des différences dans l’Etre et le devenir, entre les autres et soi-même. Sans doute assurons-nous ainsi l’équilibre moral et intellectuel des personnes en leur faisant découvrir leur rôle et place dans l’évolution de notre société sur des bases prospectives à long terme.
Nous mettons en œuvre le ciment qui unit les composantes d’une société sur des valeurs reconnues et partagées. Que nous propose-t-on aujourd’hui ? Unir par le mariage deux personnes de même sexe leur donnant par conséquence le droit à l’adoption et à la procréation. C’est faire fi des hommes et des femmes hétérosexuels qui composent en majorité notre société et ceci depuis des siècles. C’est dénaturer l’élan naturel qui pousse l’homme vers la femme et inversement pour créer une véritable harmonie dans la procréation et l’éducation des enfants.
Les choses en face
Et si la procréation médicalement assistée n’avait jamais existé le problème ne se serait jamais posé. Dans une société républicaine, c’est la majorité qui décide en prenant en compte les contributions éventuelles à la réflexion proposées par les minorités. La décision s’impose à travers la Loi. Et personne ne peut y déroger.
Alors ayons le courage de regarder les choses en face. Dans une société qui perd ses repères, à la recherche d’un avenir, où la place de chacun reste entière, nous ne devons pas nous affranchir de ce qui naturellement fait partie de notre vie et le traiter à la légère.
Il fut un temps où une situation de cette nature ne pouvait être affirmée sans risquer des conséquences fâcheuses. Aujourd’hui elle se pose : il faut donc y trouver les réponses et les accepter. C’est là que doit se trouver l’évolution. Il faut aussi dans ce contexte accepter que l’obligation de célébration d’une cérémonie de mariage de personnes homosexuelles ne s’impose pas aux officiers d’état civil, objecteurs de conscience. Que le droit d’accepter ou de refuser reste un paramètre d’harmonie personnelle du célébrant. Nous devons savoir nous engager à faire de la société de demain une société heureuse, dans laquelle les institutions civiles, de même que les religions d’ailleurs, rassemblent autour d’un idéal partagé et ne divise pas sur des différences. »
MARIAGE POUR TOUS. Je suis homosexuel, pas gay : cessez cette confusion !
Dénaturation du mariage : Monseigneur Raffin écrit aux catholiques de son diocèse
Anatole se demande comment on fait les bébés ?
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Par PhilippePhilippe le 2 Décembre 2012 à 20:44
Ajout d'un étage rue des Huiliers
Un étage en construction depuis près de 2 ans
Le maire autorise les défigurations car il aime les promoteurs
Etage terminé de la rue des Huiliers
Sans affichage explicatif, le propriétaire de l'immeuble où se trouve le Palais Marocain, fait des travaux et ajoute un étage ; la perspective de la rue peut-elle être revue sans autorisation ?
Avant les travaux :
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Par PhilippePhilippe le 25 Novembre 2012 à 22:17
Metz Mag de novembre-décembre 2015
Les taux de la commune et de l'intercommunalité sont inchangés.
Mais la valeur locative brute augmente de 1,8 % !
Sans augmenter (selon le maire), ça augmente quand même !!
Les abattements de l'intercommunalité sont revus : 9 % au lieu de 15 % à la base, et 18 % au lieu de 15 % en rang 1 ou 2. Il faut donc au moins 2 enfants pour que ce changement soit indolore.
La valeur locative moyenne, sur laquelle sont calculés les abattements, augmente de 1,39 % seulement au lieu de 1,8 % : moins d'abattement = plus de taxes !
Résultat : + 2,8 % d'augmentation pour la commune, idem pour l'intercommunalité (famille avec 2 enfants).
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Par PhilippePhilippe le 25 Novembre 2012 à 15:14
Pour la "nuit blanche" du 1er octobre, avec l'accord de l'évêque Mgr Raffin, la basilique Saint-Vincent a été décorée de ballons géants rose fluo gonflés à l'hélium (ce qui a représenté une dépense de 60 000 euros !!) à l'extérieur et à l'intérieur :
Trois spectacles musicaux ont été présentés, dont celui de 21 heures avec un groupe d'une quinzaine de chanteuses accompagnées d'une batteuse, scandant borborygmes et onomatopées, habillées dans un premier temps en costumes longs de prêtresses, druidesses, sorcières, pénitentes (au choix), puis en jupes et shorts très courts :
Jusqu'à minuit, tout le monde a pu entrer et sortir à sa guise de la basilique, sans la moindre considération pour le caractère sacré du lieu : chiens, vélos, bouteilles, sandwichs, cigarettes, tout était permis !
Sur le maître-autel étaient posés des spots clignotants ; devant l'autel de Notre-dame dans le transept nord était tiré un rideau noir pour faire une loge aux intervenants : l'autel a ainsi servi à cette occasion de coiffeuse et de bar !
Le "spectacle" a duré plus longtemps que prévu. Le lendemain, la basilique était dans un état de saleté et de désolation consternant : tablettes de bancs cassées, papiers, mégots, nourriture, bouteilles et canettes de soda, bière, vin. Les cierges ont été utilisés et sont passés de mains en mains pour allumer ce qui ressemblait à des cigarettes.
Des dégradations ont aussi été recensées dans la ville, notamment des vitrines et des portes en verre brisées. Les services d'urgence ont été largement plus sollicités que lors d'une soirée normale ; une soixantaine de personnes ont dû être secourues, principalement pour coma éthylique.
Témoignage : "la nuit blanche fut pour moi un spectacle triste et affligeant. Triste spectacle en effet, que de voir ces jeunes ivres errant au centre-ville, ces bagarres à répétition et l'image de ces secouristes ramassant à droite et à gauche les victimes de coma éthylique. Après deux heures de promenade pas tranquille, nous avons décidé de rebrousser chemin. Ma pensée va aux secouristes, pompiers et forces de l'ordre, qui ont dû être débordés. Tout ça pour ça ?"
On peut également inclure dans cette pensée le personnel de nettoyage de la ville, celle-ci s'étant transformée en quelques heures en porcherie géante. On est bien loin de la "sérénité" et du "flot poétique" vantés dans les publicités de la ville !
Je ne parle pas des masses, mais d'une élite nationale responsable de la substance spirituelle et de l'orientation du pays tout entier, qui a si lamentablement échoué dans ce siècle, et sans doute les précédents, que le plan spirituel a été privé de ses appuis et a été plongé dans le chaos.
Pressentant la catastrophe imminente, cette élite est aujourd'hui capable d'une erreur plus grave encore : de se couper du monde réel avec ses erreurs pour mener sa vie à elle, s'adonner à l'art pour l'art, au sens le plus large.
Or rien ne serait plus dangereux que de se réfugier dans l'esthétique.
Notes griffonnées sur une enveloppe, probablement pendant l'hiver 1942 - 1943, par Hans Scholl, étudiant catholique allemand, guillotiné le 22 février 1943 avec sa soeur Sophie, pour avoir écrit et distribué des tracts appelant étudiants et professeurs à se soulever contre le pouvoir nazi.
Hans et Sophie Scholl, "Lettres et carnets", page 179, Tallandier Editions, 2008.
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Par PhilippePhilippe le 25 Novembre 2012 à 14:36
Pâques à la basilique Saint Vincent de Metz
A partir de 1970, le coût du chauffage devenant trop important, la basilique Saint-Vincent est fermée la moitié de l'année ; à partir de décembre 1987, la basilique est fermée au culte pour des raisons (discutables) de sécurité.
Lors des journées du patrimoine du 18 au 20 septembre 2010, l'évêque, Mgr Raffin, autorise dans la basilique une exposition sur l'histoire des mémoires ouvrières des manufactures de tabac, avec le soutien de la ville de Metz.
Sur la photo, on reconnaît Antoine Fonte (PS), Dominique Gros (PS) et Roger Tirlicien (PC) qui font de la politique en chaire et vantent les manifestations contre la réforme des retraites.
Présentation des luttes qui permet à l'Internationale de retentir dans la basilique :
Le choix du lieu d'exposition n'est pas anodin quand on sait que la manufacture des tabacs, située juste en face, a une très belle salle des fêtes, des casemates en sous-sol que les messins auraient pu découvrir, plutôt que d'assister à cette manifestation politique dans la basilique, toujours consacrée au culte catholique !
Daniel Delrez signe le livre d'or en souhaitant que la basilique soit donnée désormais à un usage laïc et républicain :
Mille an d'histoire vont être balayés par des forces obscures, anti-chrétiennes !
Finalement, l'évêque, Mgr Raffin, va bientôt désacraliser la basilique, qui sera ensuite reprise par la municipalité pour un "usage profane digne", ça promet !
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Par PhilippePhilippe le 24 Novembre 2012 à 09:47
Travaux place de la République
Les pavés chinois de la place de la République populaire
En moins de deux ans, c'est déjà à refaire :
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Par PhilippePhilippe le 22 Novembre 2012 à 21:30
Illustration du livre de Français d'un collège de Metz :
le moine, invité à dîner par un couple, couche avec l'épouse, pendant que l'époux, en prière, récite le chapelet.
L'éducation nationale considère sans doute que c'est un bel exemple à donner à des collégiens !
9 commentaires -
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Par PhilippePhilippe le 17 Novembre 2012 à 19:05
Sous cet autel gît Maître Pierre Perrat
Le maçon, Maître de l'ouvrage de l'église
De céans et Maître de l'ouvrage de la Cité
de Metz et de l'église de Toul et de Verdun
Qui mourût le vingt-cinquième jour du mois de juillet de l'an
De grâce de Notre Seigneur 1400.
6 commentaires -
Par PhilippePhilippe le 17 Novembre 2012 à 18:56
L'Arsenal - Metz en Scènes ouvre ses portes aux choeurs amateurs, en partenariat avec le Conseil Général de la Moselle et l'INECC Mission Voix Lorraine.
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Par PhilippePhilippe le 17 Novembre 2012 à 17:48
Caroline Froissart, Auspuff / Pots d'échappement customisés
Ce sont des pots d'échappement de motos, ou "étrangetés presque organiques" :
Cristina Escobar, Trous de mémoire #2 / Ecriture, sablage sur pelle
L'artiste a "gravé sur chaque élément ses propres souvenirs d'enfance".
"L'idée d'installer les pelles sur le sol est un choix qui me donne la possibilité d'évoquer à la fois une image de 'granz mortuaires de grenz' ou 'grand nombre de cadavres' mais c'est aussi une manière de parler des génocides passés, des guerres et des noyés qui cherchent à immigrer vers d'autres continents et pays par la mer."
"La pelle est l'élément le plus approprié que j'ai trouvé pour évoquer le 'Trou', la perte, l'oubli... créant ainsi les trous de mémoire." :
Elise Franck, Dimanches matins / Dessins fusain sur papier
"Je réfléchissais à cette exposition en regardant tourner les tambours des machines à laver. J'avais horreur d'aller au lavomatique. Mon unique plaisir était de regarder le linge tourner et tomber. Puis il y a eu l'idée d'en faire un dessin. Un tondo, encore. Mais cette fois, c'en est assez !" :
Emmanuelle Potier, Les résidus de Fétiches / 7 toiles, Huile sur lin
"La série parle des restes d'une oeuvre passée, nous l'aurons compris, mais aussi du travail même de l'artiste qui utilise, afin de créer et de transformer, une certaine abstraction psychique pour la réalisation d'une oeuvre. L'abstraction est un vestige en soi."
6 commentaires
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