• Metz Métropole le mag' de mai 2015

    Metz Mag de septembre-octobre 2015

    Metz Mag de novembre-décembre 2015

    TCRM-BLIDA sous protection

    Metz Mag de janvier-février 2015

    Metz Mag de mars-avril 2016

    Metz Métropole le mag' printemps 2016

    Metz Mag de mai - juin 2016

    Metz Métropole le mag' automne 2015

    C'est la crise, les luxueuses revues l'ont enfin un peu compris :

    44 pages de Metz Mag de Dominique Gros tirées à 74 000 exemplaires qui représentent 135 arbres coupés tous les deux mois, alors que la parution était mensuelle jusqu'en juin 2015 ;

    28 pages de Metz Métropole le mag' de Jean-Luc Bohl tirées à 120 000 exemplaires qui représentent 120 arbres coupés à chaque numéro, il semble que la revue soit devenue trimestrielle (les derniers numéros datent de novembre, mai, puis maintenant l'automne).

    Au coût des revues, il faut ajouter celui de la distribution dans tous les foyers.

    Par rapport à la périodicité de parution avant novembre 2014, le progrès s'est confirmé : l'agglomération ne publie plus un magazine mensuel, mais trimestriel ; il est étrange que Jean-Luc Bohl, pourtant ici mieux inspiré que son ami Dominique Gros, n'ait pas communiqué, contrairement à ce dernier. 

    L'économie annuelle représente 120 arbres x 6 mois = 720 arbres par an économisés.

    Par ailleurs, il se confirme que la nouvelle formule est beaucoup plus lisible, et le papier moins luxueux : quand on veut, on peut.

    Metz Mag devrait s'en inspirer.

     

    Edito de Jean-Luc Bohl, UDI

    L'ami de Dominique Gros, maire PS de Metz, nous annonce en matière de gestion : "c’est parfois à des choix douloureux que les élus font face", mais je n'ai pas l'impression que ce Monsieur souffre beaucoup de ses dépenses inconsidérées : 27 bus au gazole Mettis à plus de 800 000 euros pièce, travaux qui ont pénalisé la population et les commerçants, avec minimisation systématique de la réalité des nuisances, mauvaise qualité des matériaux puisque des voies sont à refaire après quelques mois d'utilisation, sans compter le palais des congrès qui va venir nous assommer et dont les nuisances commencent par la fermeture du parking dépose-minute de la gare.

     

    Page 5

    "Chaque agglomération a son propre lieu d’incubation. À Metz Métropole, c’est TCRM-Blida qui est le bâtiment totem, la partie immergée de l’iceberg, le lieu de mixité entrepreneuriale, de développement économique et de bouillonnement d’idées."

    Intéressant !! Concrètement, combien d'entreprises, combien d'emplois ??

     

    Page 6

    Saluons et vénérons le nouveau logo ! Il veut faire oublier "les espérances envolées et les promesses non tenues" (sic). "Exit la BA 128. Bienvenue au Plateau de Frescaty". Vous verrez, ce sera une immense Agrobiopole dans quelque temps ; si ce n'est pas le cas, il suffira de changer le logo et d'organiser une petite fête à cette occasion !

     

    Pages 14, 15, 16

    La Vice-Présidente de Metz Métropole chargée de la Mobilité et des déplacements (je ne cite pas son nom car j'imagine que tout le monde le connaît) est prise en flagrant délit d'illusionnisme : "avec une moyenne de 1,92 % d’augmentation, la hausse de certains tarifs est clairement maîtrisée. le billet unique -qui est le plus utilisé- n’a pas augmenté et nous avons des abonnements parmi les plus bas en France."

    Oui, on sait, c'est comme les repas à la cantine, les impôts, quand il y a une augmentation, on nous compare aux plus mauvais, et on nous dit qu'on n'est pas si mal.

    Pour confirmer l'augmentation subtilement annoncée, il faut aller 2 pages plus loin : "les abonnements 27-64 ans augmentent eux de 3,36 %, sachant que les salariés du secteur privé bénéficient du remboursement de 50 % de ces frais (prime transport)." Autrement dit, on met en place des transports en commun, on empêche la circulation des voitures, et ensuite on augmente les prix quand les usagers n'ont plus le choix. J'aime bien l'excuse de type socialiste : c'est pas vous qui payez, c'est la collectivité, donc ce n'est pas grave. Mais croyez-vous que l'employeur se sente respecté, lui qui voit ses charges augmenter partout en raison d'une mauvaise gestion des collectivités. Croyez-vous que cette irresponsabilité des collectivités serve finalement le salarié (qui d'ailleurs dans le cas d'espèce contribue tout de même pour moitié) ?

    Rappel des chiffres de l'inflation en France : 0,6 % en 2014, 0,4 % estimés en 2015.

     

    Page 19

    A la fin d'une page d'introduction, on en vient au vif du sujet, ainsi abordé laconiquement en 11 mots : "on va vite identifier 3 thèmes sur lesquels on va travailler". Oui, ces 3 thèmes de travail seront certainement très intéressants !! Le Conseil de Développemnt Durable qui nous est vendu sur 2 pages du magazine semble être encore une belle invention socialiste (Dominique Voynet en 1999) qui parasite le travail des entrepreneurs.

     

    Page 20

    Ce n'est pas moi ;-)

    Metz Métropole le mag' automne 2015

     

    Page 21

    Ici est mise en évidence l'irresponsabilité de Jean-Luc Bohl. C'est tout de même incroyable de ne rien faire, de pleurnicher et de se plaindre dans une revue officielle. Si ce Monsieur est incompétent, qu'il démissionne, son inaction est scandaleuse.

    "Tous les citoyens sont-ils égaux devant la loi ? Manifestement non ! Devant la recrudescence cet été d’occupations illicites de terrains communaux, intercommunaux ou privés non prévus au stationnement des gens du voyage sur le territoire de l’Agglomération, le Président de Metz Métropole a demandé au Préfet de faire respecter la loi et qu’il prenne toutes les mesures nécessaires à la protection de notre territoire face à des groupes aussi structurés que ceux qui ont envahi récemment Chieulles, Peltre, Ars-Laquenexy, Jury, Le Ban-Saint-Martin, Metz, Marly... Certains de ces groupes ne respectent rien, s’installent au mépris des règles, tout en trouvant de multiples prétextes pour ne pas se rendre sur la seule aire officielle de grand passage mise en place par Metz Métropole, seule aire adaptée à ce type d’implantation entre Metz et Thionville, répondant pleinement aux huit critères demandés par le Schéma départemental d’accueil des gens du voyage."

     

    Expression des élus page 26

    Depuis le précédent numéro, les élus peuvent s'exprimer, c'est un progrès.

    Il est de nouveau question des gens du voyage : l'encart de la page 21 est certainement une conséquence du présent coup de gueule des maires qui voient bien la réalité du terrain. Donc les gens du voyage, "qu'il ne faut pas stigmatiser", ont tout de même laissé une ardoise de 100 000 euros (casse, dégradations, vol) en totale impunité : Jean-Luc Bohl (UDI) ne pourrait-il demander à son ami Dominique Gros (PS) de passer un petit coup de fil à son ami Manuel Valls qui a tous les pouvoirs ? On est en pleine hypocrisie, nos dirigeants politiques sont irresponsables, incompétents.

    Il est aussi question à juste titre du "bétonner à tout-va, comme cela se fait dans la métropole messine" !

    Bravo à ces élus de terrain qui osent dire combien nos dirigeants nous prennent pour des imbéciles.

    Cela ne va pas s'arranger avec les "lointaines hyper régions" !


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  • Metz Mag de juin 2015

    Metz Métropole le mag' automne 2015

    Metz Mag de novembre-décembre 2015

    Metz Mag de septembre-octobre 2015

    --> Télécharger Metz Mag de septembre-octobre 2015 <--

    La luxueuse revue continue en format de 44 pages tirées à 74 000 exemplaires, ce qui équivaut à 135 arbres coupés.

    La seule distribution (réalisée par la société C DISTRIBUE à Metz) de la luxueuse revue coûte plus de 10 000 euros par numéro aux contribuables.

    Cette luxueuse revue est un concentré d'autosatisfaction, de langue de bois, de mensonge, mais elle est tellement inintéressante que je doute qu'elle ait beaucoup d'effet.

    Editorial du maire : il se croit audacieux, il est toujours fier de tout ce qu'il fait ; je lui donne raison sur le point qui suit ; il vient de se rendre compte (après plus de 6 ans) que sa luxueuse revue était chère. Conclusion : "Désormais, Metz Mag paraîtra un mois sur deux." Bravo et merci ! "Pour autant, l’information qui vous est due ne s’en trouvera pas altérée." Pas d'inquiétude, Monsieur le Maire, il n'y a aucun risque d'altération.

    page 15 : je lis avec effarement (en bas à gauche) que le coût d'un repas à la cantine scolaire revient à 13,31 euros à la ville, c'est phénoménal ! Quelques comparaisons sont affichées avec Thionville et Strasbourg, mais nous ne saurons rien de leur coût de revient comparé. Comme d'habitude, la comparaison sert à faire passer une hausse de tarif ; on nous fait le même coup pour augmenter les impôts, on nous présente des chiffres nous comparant avec les plus mauvais pour faire passer la pilule. Rien ne les arrêtera tant qu'on n'aura pas atteint le plus mauvais niveau, et encore !

    Je conseille la lecture des pages 32 et 33 l'expression des groupes politiques.


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  • Patrimoine

    Bilan de Dominique Gros : la patrimoine massacré

    Le maire aime plus les promoteurs que les berges de la Moselle

    Vive le Roi quand même

    Trois jours de deuil national

     

    Avec les socialistes, le patrimoine change de définition, il n'a plus rien à voir avec la définition traditionnelle d'un héritage commun.

    On fait table rase du passé, on efface les racines, et on s'intéresse à l'avenir, à ce qui nous est étranger.

    Ces gens ont une idéologie malsaine, ils veulent anéantir notre mémoire, notre civilisation, nos valeurs, tout ce qu'ont construit patiemment nos ancêtres, souvent par leur sueur et par leur sang. Ces orgueilleux n'en ont que faire, ils s'enrichissent du chaos, de la violence, de la guerre ; nous sommes manipulés par des malfaisants, sans foi ni loi.

     

    Patrimoine du XXIe siècle, une histoire d'avenir

    Journées européennes du patrimoine


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  • La Halle

    Muse - Quartier de l'amphithéâtre

    Waves Actisud

    Commerce en berne à Metz

     

    ça a tenu un an ! Qui le prochain ?


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  • Profanation de septembre 2010

    "Attention, folie brute !

    Les 3 "artistes" du truc sont Mélanie Gerber aka Léla Frite, bien allumée" :

    Mélanie Gerber vocalise à l'Eglise Saint Maximin

    Mirabelle TV - "Le Mythe de Léla Frite Kâli"

    Mélanie Gerber aka Léla Frite "Opening"/ concert à la Médiathèque Jean Macé/mercredi 25 juin 2014

    La Voix des Furies

    "ainsi que Mélina Farine, photographe (un peu comme moi quoi)" :

    Mises en abyme

    "et Vanessa Gandar, photographe aussi" :

    vanessagandar

     

    Merci, Sébastien, pour les photos de cette "nouvelle horreur exposée à St Vincent".

     

    "Un mode d'emploi est fourni pour comprendre ce que l'on voit /subit :"

    "Mélina Farine, Vanessa Gandar et Mélanie Gerber mettent en commun une réflexion, une sensibilité, autour de la notion de voyage, d'itinéraire, de cheminement intérieur. Il s'agit d'inviter le spectateur à reproduire le schéma déambulatoire de l'esprit face à l'inconnu. Il est convié à errer dans un lieu chargé d'histoire et de mysticisme, où la pierre apporte le réconfort d'un passé commun.

    L'exposition « Le Commun des Mortels» invite le spectateur à se réapproprier un espace traditionnellement destiné au recueillement, pour faire l'expérience, comme le suggérait Martin Heidegger, « de l'émergence d'un monde, un monde musical émergé d'un fond abyssal, celui du silence imprégné des pierres de la cathédrale ».

    La mise en scène est primordiale pour permettre au public de se mettre dans un certain état, favorable à la mesure du temps et à la réappropriation de son environnement. Ainsi, une déambulation entre des paysages sauvages, des installations déroutantes, des figures métaphoriques et un autel habité par une chanteuse aux traits de chamane agissent comme révélateurs de l'invisible, de ce qu'il y a en chacun d'entre nous, de ce qui appartient au commun des mortels."

     

    "Plan pour localiser les "oeuvres" (des fois qu'on n'arrive pas à s'y retrouver)" :

    Le commun des mortels

    "LE CHŒUR, Mélanie Gerber (Léla Frite), Vanessa Gandar, Mélina Farine, et Vanessa Steiner. Comme la surface d'une planète encore intacte de toute conquête humaine, il nous renvoie à une dimension autre, un espace-temps étiré faisant le pont entre les mondes tangible et intangible. Dans sa performance, LéLa Frite revisite la cérémonie chamanique en invitant le spectateur à venir communier autour d'un thé, et à se recueillir le temps d'une discussion avec les ancêtres. Sa voix, soufflée, éraillée, criée ou gutturale, est un outil d'introspection qui renvoie, dans le cadre de pratiques cérémonielles, à la parole inarticulée des morts. Elle tente, par son chant, de reproduire l'égrégore révolu de la religion en ce lieu désormais désacralisé. Elle questionne l'engagement corporel comme créateur de lien social: le performeur est-il l'intercesseur, ce passeur qui donne accès à ce monde obscur pavé de représentations archétypales que peut être l'exposition artistique ?" :

    Le commun des mortels

    Le commun des mortels

    Le commun des mortels

    Le commun des mortels

    "NEVERMORE, Mélina Farine, 2015. Faisant écho au poème narratif The Raven, d'Edgar Allan Poe, sa posture semble figée, et nous met dans l'attente d'une révélation, d'une sentence demeurant en suspens. Nevertnote évoque le sentiment de perte, et établit un paradoxe entre un désir d'oubli et un désir de souvenir. . « Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d'un démon qui rêve; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gÎt flottante sur le plancher, ne pourra plus s'élever, - nevermore ! » Les deux installations de Mélina Farine agissent comme des figures annonciatrices et oraculaires, révélatrices d'un au¬delà fantasmé." :

    Le commun des mortels

    "LE MESSAGER, Mélina Farine, 2015. Animal traqué et vaincu, sacrifié ou seulement endormi, Le Messager laisse deviner, de par sa posture, une course éffrénée, une poursuite préalable. Entre chien et loup, évoquant la figure de vanité, il relève également de l'univers du conte, du mythe." :

    Le commun des mortels

    Le commun des mortels

    "MIRROR LAKE, Vanessa Gandar, 2015. Mirror Lake est une installation photographique qui magnifie un paysage aux allures surréalistes; reflet d'une nature sauvage et inaccessible, dont les vastes étendues refusent toute appropriation." :

    Le commun des mortels

    "Merci pour ce très beau moment passé en votre compagnie. Voyage ailleurs et nulle part"

    "Communion magique. Bravo"

    "Quelle force :-) Mon coeur vibre encore... en corps... Ancrée sur une autre planète ou dans un autre espace-temps, intemporel, .. Merci"

    Le commun des mortels

    Avec le soutien du service Patrimoine culturel, des Journées Européennes du Patrimoine, de la Ville de Metz, du Conseil Général de Moselle, de la Galerie Toutouchic, de la galerie Octave Cowbell.

    Une exposition proposée par l'association La Voix des Furies, sur un projet de Mélanie Gerber. Mise en lumière de Vincent Urbani, avec la coopération de Metz en Scènes.

     

    "Transcription pour ceux qui n'auraient pas eu le courage de regarder en entier.

    NB. Les points d'interrogation correspondent aux mots inaudibles.

    Texte : Depuis les hauts lieux ? Depuis la région des nuages flottants. Descendez et répondez-vous partout. Descendez. J’offre ce thé à l’assemblée des ciels qui a pour origine le ciel d’en haut. J’offre ce thé aux êtres nés dans les régions médianes et qui les constitue. J’offre ce thé au maître des arbres, aux racines complètes. J’offre cette boisson au maître du cervidé que je monte. Toute la famille des ancêtres rassemblés. Tous les ancêtres rassemblés. Toute la lignée regroupée. Descendez. Descendez. Descendez. Au bout de plusieurs générations, descendez dans mon organisme vivant. Faites s’accomplir l’histoire vécue. Faites se mouvoir ma langue et mon cœur. Affermissez ma vie.

    Chanson : A travers toutes les forêts, ??? Par-delà les montagnes, je marche, je marche. Même si les océans, je marche, je marche, je marche. Voulez-vous me confier vos ??? Laissez-moi vous annoncer la formule d’une voix ferme. Que vos mots ne s’enlisent. Que nos sommeils ne durent. Vous qui voyagez seul Je vous en conjure. Depuis vos sociales enflammées, je marche. Depuis vos arbres racines emmêlés, je marche, je marche. Depuis des hautes fleurs au parfum ???, Je marche. Je ne peux pas m’en remettre aux prières. Je ne peux pas vous laisser vous changer en statue de pierre. Que vos os ne se soudent. Que vos cerveaux ne gèlent. Vous qui voyagez ohhhh, je vous appelle les « lalesselo ? », « lalesselo ? » « lalesselo ? », « lalesselo ? »…"


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  • Hôpital de Mercy

     

    Merci f.e. !


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  • Deux maisons typiques de Metz

    Palais Cambout

     

    C'est plus moche en réalité que sur la photo ; de l'autre côté de la rue (dans mon dos) sont situées les deux maisons typiques qui vont être éradiquées.


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  • "Taxes, normes, charges, ça suffit !"

    "Elus, libérez l'entreprise !"


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  • Zone Antifa

    Horda


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  • La qualité de l'air à Metz : 8/10 le 5 septembre !


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  • Centre actuel (juin 2012) de remisage des bus

    Centre de maintenance et de remisage des bus (mai 2012)

    Centre d'exploitation et de maintenance (avril 2013)

    Tcrm-Blida

    Metz Métropole le mag' automne 2015

     

    Le "tiers-lieu" = le ramassis qui compose le lieu.

    Ce terme dépeint assez bien l'objectif peu ambitieux du lieu !

    Inauguré le 3 mars 1989, obsolète en 2013 pour les socialistes dispendieux.

    Les payeurs, c'est à dire nous :


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  • Près de Pange :

    Le Gros de Metz et la Grande Corvée

    Merci Olivier !


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  • A deux pas du Centre Pompidou : 1er bidonville de Metz

    Dormir sous les ponts de Metz

     

    Le socialisme, c'est la ruine !

    Camping sauvage à Metz

    Camping sauvage à Metz


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  • PAVE rue Maréchal Lyautey


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  • Règlement de compte à retardement

    Square Gustave Kahn

    Lettres d'un prisonnier de guerre à ses parents

    Mosellans dans l'aviation allemande en août 1918

    Automne

    Marraine des Poilus

    6 août 1914

     

    Je cherche la rue Jésus Christ injustement condamné par le Sanhédrin 0-33

    Il est incroyable de trouver le temps et les moyens de réviser sélectivement des procès du 17e siècle, concernant des faits divers, alors qu'il existe aujourd'hui tant d'injustices, notamment envers les plus faibles, envers ceux qui ne peuvent se défendre, et dont on ne parle jamais. Il est imbécile de ressasser ce qui plaît aux puissants, de pleurnicher en se regardant le nombril. Ce serait une vraie mesure de justice d'honorer les soldats de 14-18, qui ont souffert et sont morts pour nous, je cherche vainement certains de leurs noms sur les murs de la ville.

    Le fils de Louis-Eugène Cavaignac, Godefroy, était convaincu de la culpabilité de Dreyfus, j'imagine que ça ne doit pas plaîre aux puissants qui imposent les changements de noms de rues. Son père, Jean-Baptiste, a voté la mort du bon roi Louis XVI, c'est plutôt républicain, non ?

    Méchant Cavaignac, gentil Lévy

    "A la fin de la cérémonie des Vêpres et en voyant la nombreuse assistance des femmes, un sentiment inconnu a pris naissance en moi et s'est développé jusqu'à me tenailler le coeur. J'ai ressenti profondément la noblesse de la femme et l'égoïsme de l'homme. Si j'avais été prédicateur, il me semble que tout en exhortant les femmes à remplir leurs devoirs, j'aurais reconnu hautement la supériorité du rôle social de la femme sur celui de l'homme.

    Le rôle de l'homme est plus apparent, plus célébré ; il s'avance dans la vie comme un coq orgueilleux, fier de ses exploits. Mais celui de la femme, cet être plus faible physiquement, est autrement sublime parce qu'il est plus voilé et qu'il s'accomplit avec plus de souffrances, souvent cachées.

    Bien sûr, les hommes souffrent durant la guerre et souffriront encore, mais pour eux ce n'est pas habituel, tandis que pour beaucoup de femmes la vie ordinaire sans la guerre est une suite continuelle de peines.

    Le dévouement des soldats est trop exalté, nous sommes trop louangés à côté des femmes. Je ne pense pas aux souffrances particulières des femmes des régions envahies, je veux parler de la situation des femmes de France en général.

    Ceux qui partent à la guerre sont évidemment à plaindre, mais je plains encore plus celles qui restent. Les soldats auront de bons moments dans leurs aventures guerrières ; ils n'ont pas à gagner leur nourriture ; ils n'ont à s'occuper que d'eux. Ils vont offrir leur vie au pays, ils ont le bon rôle et ne souffrent pas comme les femmes restées à la maison.

    Celles-ci doivent s'occuper des enfants, des vieillards et faire le travail de l'homme parti à la guerre. Les enfants sont une source particulière de souffrance pour une mère. Comment accepter que ceux qu'elles ont élevés avec tant de soin et d'amour doivent aussi donner leur sang pour la patrie ? On ne comprend souvent que trop tard dans la vie combien on doit à sa mère. La souffrance active l'amour maternel, c'est pour cela qu'il est si puissant.

    Bien sûr, je parle en général, car je sais que certaines femmes semblent très favorisées par le bonheur, du moins en apparence. On en voit jouir dans la vie en déesses adulées par leurs proches et auréolées d'un bonheur souvent factice. Ces mondaines ou autres, il ne faut pas les envier, car elles ont fui leur devoir de mère ou d'épouse et ne font ni le bonheur d'une famille et encore moins celui de la société."

    Lettre du caporal Charles Guilbault à sa femme, Pâques 1915, cité par Alain Douillard, Au bonheur de la Poste, Editions du Petit Pavé, Vauchrétien, 2004, p. 123

    "Depuis mon arrivée ici, beaucoup de soldats se sont défilés de la tranchée pour une raison ou une autre. Ils ont trouvé à employer leur activité ou leurs aptitudes pour la défense de la France dans des endroits plus calmes... Résultat, il ne reste presque plus dans les tranchées que des cultivateurs ou des ouvriers."

    Lettre du caporal Charles Guilbault à sa femme, 12 février 1916, ibid., p. 181


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  • Que sont ces ballons qui sifflent sur nos têtes ?

    C'est un bruit de respiration.

    PMS Pneu Manutention Service, Solendi EHC, La Région Lorraine, Floralia, atelier-nicoletta.com, Aubel, Yutz, Dumez :

     


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