• La ruine socialiste des pavés chinois

    Adieu les pavés

     

    Gabegie PS UDI : un an et demi après l'inauguration du Mettis, le bus au gazole, les rues pavées sont gravement déglinguées et doivent être refaites aux frais des contribuables.

    Travaux de réfection des voies du Mettis


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  • Agriculteurs méprisés en colère

     

    Manifestation des jeunes agriculteurs devant le Cora du Technopole de Metz : une cinquantaine d'agriculteurs était réunie devant l'enseigne et a déversé du purin sur le macadam de l'entrée principale. Merci Séverine.

    Jeunes agriculteurs au Cora de Borny

    Jeunes agriculteurs au Cora de Borny

    Jeunes agriculteurs au Cora de Borny

    Jeunes agriculteurs au Cora de Borny

    Jeunes agriculteurs au Cora de Borny


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  • "En ces siècles, la société entière était profondément enracinée dans la foi ; les institutions civiles étaient, jusque dans leur expression la plus intime, imprégnées du sens du Christ. Les valeurs chrétiennes n'étaient pas mises en doute et, même voilées ou parfois violées sous la pression des passions individuelles, elles étaient professées ouvertement, et souvent même avec ostentation. Une foi vive et profonde était le patrimoine de tous.

    En conséquence, le besoin de la communiquer à d'autres ne se faisait pas sentir. Ainsi, graduellement, insensiblement, l'idée d'apostolat chez les fidèles s'était atténuée, jusqu'à disparaître presque complètement; changement radical vis-à-vis des premiers siècles du christianisme, quand ce besoin était si fortement senti et satisfait qu'il constituait une des raisons les plus réelles de la diffusion prodigieusement rapide de la nouvelle foi.

    A la suite de cet affaiblissement de l'esprit d'apostolat se produisirent les grandes catastrophes spirituelles de l'époque moderne : d'abord la réaction paganiste des diverses renaissances nationales, puis la rupture de nations entières avec le centre de la foi, les perturbations spirituelles dans les idées, et les coutumes des pays qui s'appellent encore catholiques et, finalement, l'inévitable abandon des pratiques religieuses, de la part des classes dirigeantes d'abord, des masses ensuite."

    Mgr Riberi, internonce de Chine, le 25 février 1952, dans sa préface du livre "Edel Quinn" du Cardinal Suenens

    Lanterne et phare

    Lanterne et phare


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  • Ferrari

     

    La classe italienne !


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  • Festival Hop Hop Hop

    poh poh poh

    Hop hop hop, ça frame

    Hop hop hop, ça frameHop hop hop, ça crame

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  • Travaux de confort

    Travaux de réfection des voies du Mettis

    Gaspillage de la mairie

    Metz ruinée par ses pavés

     

    Un an et demi après l'inauguration du Mettis, le bus au gazole, les rues pavées sont gravement déglinguées :

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois

    La ruine socialiste des pavés chinois


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  • Hop Hop Hop 2015 - Tribunal - 12 juillet 2015

    Hop hop hop vous emmerde

    Metz : le festival « Hop Hop Hop » subventionné 145 000 euros vous explique comment bien se droguer

    Gay pride du 13 juin

    Hop hop hop, ça crame

    Les voeux en rose

    Metz Mag de mars-avril 2016

    Metz Mag de mai - juin 2016

     

    Les bobos s'amusent avec nos impôts, ce n'est pas un spectacle populaire, ils sont entre eux, dans les bâtiments publics squattés pour l'occasion, ou bien ils regardent les fesses des pseudos-artistes, avec leurs enfants, sur les places publiques :

    poh poh poh

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  • Les affreux cubes

    Les affreux cubes

    Les affreux cubes

    Les affreux cubes

    Les affreux cubes


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  • Conception socialiste

    La ruine socialiste des pavés chinois

     

    Je ne vois pas l'intérêt de ces travaux, alors qu'ailleurs les routes et les pavés sont défoncés ?

    Travaux de confort

    Travaux de confort

    Travaux de confort


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  • Une politique culturelle digne de Metz, Ville d’art et d’histoire

    Festival Hop Hop Hop

    Radio Brigandes

    poh poh poh

     

    3 jours "absolument gratuits" x 100 000 euros = 300 000 euros des contribuables, "emmerdeurs et gros cons".

    Hop hop hop vous emmerde


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  • Attentat en Isère sur un site classé Seveso

    2015 06 29 Claude Goasguen - Politique Matin - LCP

    Vivez la rentrée sans prise de tête

    Gay pride du 13 juin

    Extrait du discours d'Alexandre Soljenitsyne prononcé en juin 1978 à l'université de Harvard :

    Le déclin du courage est peut-être ce qui frappe le plus un regard étranger dans l'Occident d'aujourd'hui. (...) Bien sûr, il y a encore beaucoup de courage individuel, mais ce ne sont pas ces gens-là qui donnent sa direction à la vie de la société. Les fonctionnaires politiques et intellectuels manifestent ce déclin, cette faiblesse, cette irrésolution dans leurs actes, dans leurs discours, et plus encore dans les considérations théoriques qu'ils fournissent complaisamment pour prouver que cette manière d'agir, qui fonde la politique d'un Etat sur la lâcheté et la servilité, est pragmatique, rationnelle et justifiée, à quelque hauteur intellectuelle et même morale qu'on se place. Ce déclin du courage , qui semble aller ici ou là jusqu'à la perte de toute trace de virilité, se trouve souligné avec une ironie particulière dans les cas où même les fonctionnaires sont pris d'un accès subit de vaillance et d'intransigeance - à l'égard de gouvernements sans force, de pays faibles que personne ne soutient ou de courants condamnés par tous et manifestement hors d'état de rendre un seul coup. Alors que leur langue sèche et que leurs mains se paralysent face aux gouvernements puissants et aux forces menaçantes, face aux agresseurs et à l'Internationale de la terreur. Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant-coureur de la fin ?

    En conformité avec ses objectifs, la société occidentale a choisi la forme d'existence qui était pour elle la plus commode et que je qualifierai de juridique. Les limites (fort larges) des droits et du bon droit de chaque homme sont définies par un système de lois. A force de s'y tenir, de s'y mouvoir et d'y louvoyer, les Occidentaux ont acquis une bonne dose de savoir-faire et d'endurance juridique. (Mais les lois sont si complexes qu'un simple citoyen est incapable de s'y reconnaître sans l'aide d'une spécialiste.) Tout conflit reçoit une solution juridique, et c'est là la sanction suprême. Si un homme se trouve juridiquement dans son droit, on ne saurait lui demander plus. Allez donc lui dire, après cela, qu'il n'a pas entièrement raison, allez lui conseiller de limiter lui-même ses exigences et de renoncer à ce qui lui revient de droit, allez lui demander de consentir un sacrifice ou de courir un risque gratuit... vous aurez l'air complètement idiot.

    L'autolimitation librement consentie est une chose qu'on ne voit presque jamais : tout le monde pratique l'auto-expansion, jusqu'à ce que les cadres juridiques commencent à émettre de petits craquements. (Juridiquement, les compagnies pétrolières sont sans reproche lorsqu'elles achètent le brevet d'invention d'une nouvelle forme d'énergie afin de pouvoir l'étouffer. Juridiquement sans reproche, ceux qui empoisonnent les produits alimentaires afin de prolonger leur durée de conservation : le public reste toujours libre de ne pas acheter.)

    Moi qui ai passé toute ma vie sous le communisme, j'affirme qu'une société où il n'existe pas de balance juridique n'est pas, elle non plus, vraiment digne de l'homme. (...)

    Si l'on me demande si je veux proposer à mon pays, à titre de modèle, l'Occident tel qu’il est aujourd’hui, je devrai répondre avec franchise : non, je ne puis recommander votre société comme idéal pour la transformation de la nôtre. Étant donnée la richesse de développement spirituel acquise dans la douleur par notre pays en ce siècle, le système occidental, dans son état actuel d’épuisement spirituel, ne présente aucun attrait. (...) Non, une société ne saurait demeurer au fond d'un abîme sans lois, comme c'est le cas chez nous, mais ce lui serait une dérision de rester à la surface polie d'un juridisme sans âme, comme vous le faites. Une âme humaine accablée par plusieurs dizaines d'années de violence aspire à quelque chose de plus haut, de plus chaud, de plus pur que ce que peut aujourd'hui lui proposer l'existence de masse en Occident que viennent annoncer, telle une carte de visite, l'écoeurante pression de la publicité, l'abrutissement de la télévision et une musique insupportable. (...)

    Comment en est-on arrivé à la confrontation actuelle, si désavantageuse ? Dans sa marche triomphale, comment le monde occidental est-il tombé dans un pareil état d’impuissance ? Son évolution a-t-elle connu des tournants funestes, des pertes de cap ? Il semble bien que non. L’occident n’a fait que progresser et encore progresser dans une direction sociale déclarée, la main dans la main avec le brillant Progrès technique. Et le voici qui se retrouve dans son actuel état de faiblesse.

    Alors il ne reste plus qu’à chercher l’erreur à la racine même. A la base de la pensée des Temps nouveaux. Je veux dire : la conception du monde qui domine en Occident, née lors de la Renaissance, coulée dans le moule politique à partir de l’ère des Lumières, fondement de toutes les sciences de l’Etat et de la société : on pourrait l’appeler « humanisme rationaliste » ou bien « autonomie humaniste », qui proclame et réalise l’autonomie humaine par rapport à toutes forces placées au dessus de lui. Ou bien encore –et autrement- « anthropocentrisme » : l’idée de l’homme comme centre de ce qui existe.

    En soi, évidement, le tournant de la Renaissance était inéluctable ; le Moyen Age avait épuisé ses possibilités, l’écrasement despotique de la nature physique de l’homme au profit de sa nature spirituelle y était devenu insupportable. Mais, du coup, nous avons bondit de l’Esprit vers la Matière, de façon disproportionnée et sans mesure. La conscience humaniste se proclama notre guide, dénia à l’homme l’existence du mal à l’intérieur de lui et ne lui reconnut pas de tâche plus haute que l’acquisition du bonheur terrestre, et elle plaça à la base de la civilisation occidentale moderne une tendance dangereuse à se prosterner devant l’homme et devant ses besoins matériels.


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