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Metz Mag de novembre-décembre 2015
Les taux de la commune et de l'intercommunalité sont inchangés.
Mais la valeur locative brute augmente de 1,8 % !
Sans augmenter (selon le maire), ça augmente quand même !!
Les abattements de l'intercommunalité sont revus : 9 % au lieu de 15 % à la base, et 18 % au lieu de 15 % en rang 1 ou 2. Il faut donc au moins 2 enfants pour que ce changement soit indolore.
La valeur locative moyenne, sur laquelle sont calculés les abattements, augmente de 1,39 % seulement au lieu de 1,8 % : moins d'abattement = plus de taxes !
Résultat : + 2,8 % d'augmentation pour la commune, idem pour l'intercommunalité (famille avec 2 enfants).
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Pour la "nuit blanche" du 1er octobre, avec l'accord de l'évêque Mgr Raffin, la basilique Saint-Vincent a été décorée de ballons géants rose fluo gonflés à l'hélium (ce qui a représenté une dépense de 60 000 euros !!) à l'extérieur et à l'intérieur :
Trois spectacles musicaux ont été présentés, dont celui de 21 heures avec un groupe d'une quinzaine de chanteuses accompagnées d'une batteuse, scandant borborygmes et onomatopées, habillées dans un premier temps en costumes longs de prêtresses, druidesses, sorcières, pénitentes (au choix), puis en jupes et shorts très courts :
Jusqu'à minuit, tout le monde a pu entrer et sortir à sa guise de la basilique, sans la moindre considération pour le caractère sacré du lieu : chiens, vélos, bouteilles, sandwichs, cigarettes, tout était permis !
Sur le maître-autel étaient posés des spots clignotants ; devant l'autel de Notre-dame dans le transept nord était tiré un rideau noir pour faire une loge aux intervenants : l'autel a ainsi servi à cette occasion de coiffeuse et de bar !
Le "spectacle" a duré plus longtemps que prévu. Le lendemain, la basilique était dans un état de saleté et de désolation consternant : tablettes de bancs cassées, papiers, mégots, nourriture, bouteilles et canettes de soda, bière, vin. Les cierges ont été utilisés et sont passés de mains en mains pour allumer ce qui ressemblait à des cigarettes.
Des dégradations ont aussi été recensées dans la ville, notamment des vitrines et des portes en verre brisées. Les services d'urgence ont été largement plus sollicités que lors d'une soirée normale ; une soixantaine de personnes ont dû être secourues, principalement pour coma éthylique.
Témoignage : "la nuit blanche fut pour moi un spectacle triste et affligeant. Triste spectacle en effet, que de voir ces jeunes ivres errant au centre-ville, ces bagarres à répétition et l'image de ces secouristes ramassant à droite et à gauche les victimes de coma éthylique. Après deux heures de promenade pas tranquille, nous avons décidé de rebrousser chemin. Ma pensée va aux secouristes, pompiers et forces de l'ordre, qui ont dû être débordés. Tout ça pour ça ?"
On peut également inclure dans cette pensée le personnel de nettoyage de la ville, celle-ci s'étant transformée en quelques heures en porcherie géante. On est bien loin de la "sérénité" et du "flot poétique" vantés dans les publicités de la ville !
Je ne parle pas des masses, mais d'une élite nationale responsable de la substance spirituelle et de l'orientation du pays tout entier, qui a si lamentablement échoué dans ce siècle, et sans doute les précédents, que le plan spirituel a été privé de ses appuis et a été plongé dans le chaos.
Pressentant la catastrophe imminente, cette élite est aujourd'hui capable d'une erreur plus grave encore : de se couper du monde réel avec ses erreurs pour mener sa vie à elle, s'adonner à l'art pour l'art, au sens le plus large.
Or rien ne serait plus dangereux que de se réfugier dans l'esthétique.
Notes griffonnées sur une enveloppe, probablement pendant l'hiver 1942 - 1943, par Hans Scholl, étudiant catholique allemand, guillotiné le 22 février 1943 avec sa soeur Sophie, pour avoir écrit et distribué des tracts appelant étudiants et professeurs à se soulever contre le pouvoir nazi.
Hans et Sophie Scholl, "Lettres et carnets", page 179, Tallandier Editions, 2008.
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Pâques à la basilique Saint Vincent de Metz
A partir de 1970, le coût du chauffage devenant trop important, la basilique Saint-Vincent est fermée la moitié de l'année ; à partir de décembre 1987, la basilique est fermée au culte pour des raisons (discutables) de sécurité.
Lors des journées du patrimoine du 18 au 20 septembre 2010, l'évêque, Mgr Raffin, autorise dans la basilique une exposition sur l'histoire des mémoires ouvrières des manufactures de tabac, avec le soutien de la ville de Metz.
Sur la photo, on reconnaît Antoine Fonte (PS), Dominique Gros (PS) et Roger Tirlicien (PC) qui font de la politique en chaire et vantent les manifestations contre la réforme des retraites.
Présentation des luttes qui permet à l'Internationale de retentir dans la basilique :
Le choix du lieu d'exposition n'est pas anodin quand on sait que la manufacture des tabacs, située juste en face, a une très belle salle des fêtes, des casemates en sous-sol que les messins auraient pu découvrir, plutôt que d'assister à cette manifestation politique dans la basilique, toujours consacrée au culte catholique !
Daniel Delrez signe le livre d'or en souhaitant que la basilique soit donnée désormais à un usage laïc et républicain :
Mille an d'histoire vont être balayés par des forces obscures, anti-chrétiennes !
Finalement, l'évêque, Mgr Raffin, va bientôt désacraliser la basilique, qui sera ensuite reprise par la municipalité pour un "usage profane digne", ça promet !
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Travaux place de la République
Les pavés chinois de la place de la République populaire
En moins de deux ans, c'est déjà à refaire :
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Illustration du livre de Français d'un collège de Metz :
le moine, invité à dîner par un couple, couche avec l'épouse, pendant que l'époux, en prière, récite le chapelet.
L'éducation nationale considère sans doute que c'est un bel exemple à donner à des collégiens !
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Sous cet autel gît Maître Pierre Perrat
Le maçon, Maître de l'ouvrage de l'église
De céans et Maître de l'ouvrage de la Cité
de Metz et de l'église de Toul et de Verdun
Qui mourût le vingt-cinquième jour du mois de juillet de l'an
De grâce de Notre Seigneur 1400.
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L'Arsenal - Metz en Scènes ouvre ses portes aux choeurs amateurs, en partenariat avec le Conseil Général de la Moselle et l'INECC Mission Voix Lorraine.
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Caroline Froissart, Auspuff / Pots d'échappement customisés
Ce sont des pots d'échappement de motos, ou "étrangetés presque organiques" :
Cristina Escobar, Trous de mémoire #2 / Ecriture, sablage sur pelle
L'artiste a "gravé sur chaque élément ses propres souvenirs d'enfance".
"L'idée d'installer les pelles sur le sol est un choix qui me donne la possibilité d'évoquer à la fois une image de 'granz mortuaires de grenz' ou 'grand nombre de cadavres' mais c'est aussi une manière de parler des génocides passés, des guerres et des noyés qui cherchent à immigrer vers d'autres continents et pays par la mer."
"La pelle est l'élément le plus approprié que j'ai trouvé pour évoquer le 'Trou', la perte, l'oubli... créant ainsi les trous de mémoire." :
Elise Franck, Dimanches matins / Dessins fusain sur papier
"Je réfléchissais à cette exposition en regardant tourner les tambours des machines à laver. J'avais horreur d'aller au lavomatique. Mon unique plaisir était de regarder le linge tourner et tomber. Puis il y a eu l'idée d'en faire un dessin. Un tondo, encore. Mais cette fois, c'en est assez !" :
Emmanuelle Potier, Les résidus de Fétiches / 7 toiles, Huile sur lin
"La série parle des restes d'une oeuvre passée, nous l'aurons compris, mais aussi du travail même de l'artiste qui utilise, afin de créer et de transformer, une certaine abstraction psychique pour la réalisation d'une oeuvre. L'abstraction est un vestige en soi."
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Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Metz Mag (socialiste) de février 2013
Des 44 pages par revue (donc 88 pages pour les deux), je retiens :
Edito de Dominique Gros du #39 :
"Nous devons apporter une réponse à cet afflux de demandeurs d’asile, avec humanité en prenant en compte le désarroi de ces populations, mais aussi avec fermeté pour ne pas encourager les pratiques des passeurs. En d’autres mots, il faut plus d’action que de gesticulations, plus de détermination que de communication."
"Je souhaite rendre hommage aux habitants des quartiers qui souffrent de cette situation."
Quel Tartuffe, Dominique Gros ne se sent jamais responsable ! Après avoir allumé l'incendie, il se met du côté des pompiers. Il réclame maintenant de la fermeté, alors qu'il a toujours manifesté, notamment dans le "cercle du silence", pour donner des papiers aux illégaux, alimentant ainsi les pompes aspirantes de l'immigration.
Rendre hommage aux habitants est particulièrement déplacé de sa part, on attend d'un élu qu'il pose des actes responsables, non pas qu'il pleurniche sur une situation à laquelle il a contribué.
Marche Européenne des Sans Papiers et Migrants
On nous en remet une couche page 8 du #40 :
"La présence de nombreux demandeurs d’asile dans le quartier de Bellecroix a suscité beaucoup de questions. Le Maire a tenu à rappeler les deux engagements fermes qui guident son action : ne pas favoriser l’implantation de nouveaux demandeurs d’asile, et assurer un devoir d’humanité et de respect envers ces populations. Dominique Gros a remercié les habitants du quartier pour « leur attitude exemplaire face à cette détresse humaine », avant d’ajouter : « Je n’ai pas reçu de messages haineux et simplistes de la part des habitants, mais des messages constructifs face à un problème de fond. »"
Cette prise de conscience du maire est bien tardive, et on aimerait voir des actes plutôt que de l'entendre palabrer. Les habitants sont admirables de supporter cet aplomb alors que sa responsabilité est patente.
Biomasse, les forces de la Nature, page 22 du #39 :
La centrale biomasse de Metz-Chambière est sensée économiser 57 000 tonnes de CO2 par an. C'est incompréhensible ! On se fout de nous. Et pour appuyer l'absence de démonstration, on donne un exemple : 20 000 véhicules qui parcourent chacun 15 000 km par an, voilà l'économie. C'est sidérant.
Tribune de Patrick Thil, page 32 du #39 :
"L’emploi véritable n’est pas l’emploi aidé, mais celui généré par les entreprises. A Metz, l’emploi n’est pas une priorité. Technopôle 2, la zone des 2 Fontaines, le Palais des Congrès, sont en panne depuis 4 ans, alors qu’il s’agit d’autant de générateurs d’emplois qui devraient être des priorités absolues. Pour toute réponse à nos critiques, le Maire y pensera lors du prochain mandat."
Je trouve ce commentaire très étrange.
A la lecture des récents Metz Mags, il paraît évident que la municipalité socialiste est plus intéressée par les gadgets de type "actions citoyennes et solidaires" (voir mon commentaire sur les pages 21 à 25 du Metz Mag de septembre) que par les zones d'emploi.
Je ne comprends pas que Patrick Thil considère le Palais des Congrès comme générateur d'emplois non aidés. Qui va payer les 60 000 000 à 80 000 000 euros minimum que va coûter le bâtiment ? Reprocher au maire de prendre son temps pour une telle dépense me paraît bien téméraire !
Le développement durable sous l'angle budgétaire, page 27 du #40 :
un tableau représente "les principaux investissements vertueux et leurs effets", mais on est loin de tout nous dire, on compare des pommes et des poires : investissements en euros, mais gains en unités diverses et variées : m3, consommation d'énergie, kWh, m2, nombre de chaufferies, nombre de dossiers, tonnes, nouveaux raccordés. Quelles sont donc les différentes durées de retour sur investissement ? Il semble que cette notion n'intéresse pas les gestionnaires de la municipalité socialiste.
Et puis, on peut lire : "Cela est réalisé à imposition constante, rappelons le niveau d’imposition messin de 409 euros par habitant, contre 531 en moyenne nationale."
Cette répétition, ce rabâchage, ne rendra pas vraie la proposition !
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Metz Mags d'octobre et novembre
Larousse : Fait de distinguer et de traiter différemment (le plus souvent plus mal) quelqu'un ou un groupe par rapport au reste de la collectivité ou par rapport à une autre personne : Le sexisme est une discrimination à l'égard des femmes. Discrimination raciale.
Aux frais du contribuable, Dominique Gros, Directeur de la publication Metz Mag, offre une pleine page de pub dans le n° 40 de cette revue, à l'association Couleurs Gaies, et son président Matthieu Gatipon-Bachette, qui font la promotion des lesbiennes, homos, bissexuels, transsexuels dans les écoles de Metz à l'aide de 2 personnes issues du service civique !
Pas une seule discrimination n'est citée dans l'article, qui nous explique que des "lieux de rencontres" seront aménagés (avec ou sans préservatifs ?) à l'Hôtel de ville et que "différentes personnes interpelleront les passants et leur proposeront de leur faire part des discriminations dont elles ont été victimes".
Ou, comment on passe de la discrimination à la manipulation !
Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille
Christian Geay, président de Aides Territoire d’action de Lorraine, le 19 novembre 2012 à l'hôtel de ville de Metz, au sujet des porteurs du VIH : « Pour éviter la violence sociale qui découle de la sérophobie, on a tendance à s’enterrer dans une sorte d’omerta, car le mal dont on souffre n’est pas toujours apparent au dehors. Psychologiquement, la souffrance qui accompagne ce silence est terrible à supporter. Nous souffrons également du rejet du milieu homosexuel qui se veut jeune, beau et joli, et qui nous tourne le dos une fois la maladie contractée. »
Coup-d'pied au derrière : SOS homophobie perd son agrément dans les écoles
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Metz Mags d'octobre et novembre
Les clignotants passent au vert
"UEM a créé un progiciel innovant pour permettre aux entreprises du secteur de l’énergie de gérer l’ensemble de leurs processus métiers, de la relève des compteurs à la comptabilité, en passant par la gestion de matériels, des contrats et de la facturation. Cela se concrétise par la création de la filiale Efluid pour développer et gérer l’activité de développement et de commercialisation de ce remarquable progiciel.
La nouvelle société aura en charge le déploiement de la solution sur l’ensemble du territoire national pour la gestion des clients « particuliers et petits professionnels » d’ERDF. Cela représente 35 millions de clients en France. Un dynamisme qui profitera également à la Ville, avec l’emploi de plus de 120 salariés à Metz et le travail de plus de 100 prestataires informatiques et techniques chez des fournisseurs."
Source : édito du maire de Metz dans Metz Mag #40 de novembre 2012.
Je regrette qu'une telle bonne nouvelle ne soit pas plus développée dans les 44 pages en papier glacé de la revue de Metz. J'attends avec impatience le #41.
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Dans le bus, pas de place pour l'incivilité !
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
4 agressions en moins de 2 jours ont amené les chauffeurs de bus à faire grève hier.
Réactions :
Dominique Gros soutient ceux "qui s'inscrivent dans le coeur de l'organisation de la ville et doivent composer chaque jour avec les diffiicultés de circulation dues aux travaux du Mettis".
Jean-Luc Bohl condamne "ces actes graves et inqualifiables à l'encontre des personnels qui exercent une mission de service public".
Croyez-vous qu'à l'instar de la campagne d'affichage, ces déclarations soient efficaces ?
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Dans le bus, pas de place pour l'incivilité !
Bohl et Gros gaspillent et nous appauvrissent
Metz Métropole le mag' est un magazine de 28 pages dont est responsable Jean-Luc Bohl, maire de Montigny-lès-Metz, président de Metz Métropole, UDI (Union des Démocrates et Indépendants de Jean-Louis Borloo), élu à ce poste en 2008 contre Dominique Gros, maire de Metz, PS.
Malgré cette apparence de diversité dans les opinions et les choix politiques, Jean-Luc Bohl et Dominique Gros partagent les mêmes passions :
Mettis, dont on nous dit le plus grand bien à chaque numéro, en large et en travers, toutefois "sans minimiser l'impact du chantier", comment faire autrement ?!
le quartier de l'Amphithéâtre que Jean-Luc Bohl compare à "un petit Berlin, avec cet enchaînement de patrimoine monumental et de modernité, la renaissance spectaculaire d'espaces autrefois en friche, ses grues et sa soif d'art contemporain."
Comme Dominique Gros, Jean-Luc Bohl défend ses projets de façon partiale, en les enjolivant honteusement, en vendant du rêve (jusqu'aux grues !), en écartant toute contradiction (tout est beau, tout est magnifique, voir les 4 témoignages des futurs (!) passagers du Mettis, ou bien le témoignage du Président de la Caisse d'Epargne qui s'installe dans un nouveau bâtiment du quartier de l'Amphithéâtre), en occultant les graves conséquences sur les finances de la Métropole.
La bulle immobilière messine, Marie-Jo Zimmermann, tribune de Metz Mag #39, page 32 :
N’est-il pas paradoxal, alors même que l’on aère et dédensifie le quartier de Metz Borny, que dans le même temps, la municipalité développe autour du centre Pompidou un nouveau quartier qui nous rappelle malheureusement par sa densité et ses choix urbanistiques, les années 60 ?
Si les initiateurs de ces projets tiennent toujours le même discours: «le vivre ensemble, les commerces de proximité, l’intergénérationnel », ... le résultat est souvent à l’inverse de ces belles paroles : pas d’âme, pas de charme, pas de personnalité.
Curieusement d’ailleurs, architectes, urbanistes et élus préfèrent se loger dans les quartiers anciens de la ville, peu séduits sans doute eux-mêmes par l’architecture qu’ils nous imposent.
Survivre à Metz n°4, Emmanuel Lebeau, élu sur la liste de Marie-Jo Zimmermann :
Jean-Luc Bohl : "C'est vrai que la dette progresse. Mais c'est normal, nous partions de zéro."
Philippe : ben voyons ! Un tel aplomb est sidérant. On dirait du Gros.
Jean-Luc Bohl : "Je crois que c'est une saine gestion que de faire financer des investissements à long terme par ceux qui en profiteront."
Philippe : leur a-t-on demandé leur avis ?
Jean-Luc Bohl : "La structure de la dette de Metz Métropole est extrêmement saine".
Philippe : c'est en général ce que disent les sociétés avant leur faillite.
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Travaux Mettis place de la Gare
Gabegie socialiste, destruction des ressources
Même les pavés (chinois) sont métissés :
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